• Merci à Corinne Bignard pour ces infos!

    voici le lien:

    http://www.teva.fr/actualite/252752-chou-chinois.html

     

    Très peu calorique, très bon marché, et très bon tout court, on se demande pourquoi on ne mange pas plus souvent cet étonnant légume ! Voici 10 idées simplissimes pour mettre cette crucifère au menu plus souvent. En plus c’est pile-poil la saison…

     
    Salade de chou chinois (Copyright : Henri Yeru/Aprifel)Salade de chou chinois (Copyright : Henri Yeru/Aprifel) - Henri Yeru/Aprifel

    1. En finger food

    On transforme les côtes de chou en bâtonnets, qu'on plonge tout crus dans des dips yaourt-curry-piment d'Espelette ou crème fraîche-ail-ciboulette. Ça nous change des crudités franchouillardes, type carottes-concombre !

    2. En salade

    On taille les feuilles de chou en lanières extra-fines pour le joli effet frisottant, on sublime avec quelques gouttes d'huile de sésame grillée, un chouia de sauce soja et le tour est joué. Ou bien on râpe le chou et on le mixe avec une poignée de raisins de Corinthe, de pépins de courge ou de cerneaux de noix, pour un boost énergétique diététiquement ultra-correct (100 grammes de chou chinois sans rien du tout = 12 calories !).


    3. En plat unique

    Pour se réconcilier avec l'hiver, on se mijote un sauté de chou chinois aux lardons, façon Gabrielle Keng-Peralta, l'auteur de Les Baguettes magiques d'une Chinoise de Lyon (éditions Tana) : on fait revenir de l'oignon coupé fin et des lardons fumés, on ajoute des côtes de chou chinois coupées en tronçons de 4 cm, ainsi que de l'ail pressé et du gingembre frais râpé. Après quelques minutes, on ajoute les feuilles de chou, on assaisonne avec une pointe de sauce soja et on déglace avec un verre d'eau pour ensuite laisser mijoter jusqu'à ce que le chou soit fondant (très bon aussi al dente).

    Chez Tang Frères, dans le 13e arrondissement à Paris, tous les choux de Chine se sont donné rendez-vous !
    Chez Tang Frères, dans le 13e arrondissement à Paris, tous les choux de Chine se sont donné rendez-vous ! - © Tinka Kemptner

    4. En chou farci revisité

    Pour épater le pékin, on remplace simplement notre crucifère locale par du chou chinois, mais on réduit le temps de cuisson, car c'est plus fin que le chou traditionnel. Pour la farce aussi, on peut up-dater un peu la recette : ils suffit d'ajouter des champignons shitaké, de la ciboulette et du gingembre pour téléporter votre chou farci en Asie !

    5. Au wok

    Les Chinois adorent leur chou saisi juste quelques instants à feu très vif, pour garder la texture croquante (et préserver au passage un maximum de vitamines). Imitons-les : on coupe les feuilles grossièrement en lanières et on les fait revenir très vite dans de l'huile de tournesol brûlante, en ajoutant des morceaux de carotte, de radis, de poireau, de poulet, de crevettes… Bref, tout ce que votre frigo a à vous proposer ce jour-là. On déglace avec de la sauce aux huîtres et un peu de sauce soja et on relève avec quelques gouttes d'huile de sésame grillée. Cyril Lignac en est fan. Vous aussi bientôt !

    6.En papillote

    Plus écolo que l'alu et surtout beaucoup plus miam : les feuilles de chou chinois enveloppent à merveille poissons blancs, morceaux de poulet… pour mijoter gentiment au fond du panier de notre cuit-vapeur.


    7. En omelette

    En Chine, on ajoute du chou émincé dans les farces des raviolis et des dim sum. Pour celles qui n'en maîtrisent pas la technique millénaire, on conseille de commencer par l'omelette, qui ne requiert d'autre dextérité que de casser et brouiller des œufs… Il suffit d'ajouter quelques feuilles de chou, même coupées approximativement, et de faire cuire dans une poêle.

    8. En quiche

    A la place des poireaux par exemple !


    9. En soupe

    Ultra-diet : on dispose une grande feuille de chou chinois au fond du bol et on recouvre de bouillon home made à base d'eau chaude, à laquelle on a simplement ajouté un peu de sauce soja, d'huile de sésame, d'huile de tournesol et de vinaigre (une cuillère à soupe de chaque pour deux bols, sauf pour la sauce soja : deux c. à s.). Encore meilleur avec des vermicelles chinois, un peu d'ail et de lamelles de poireau, ajoutés juste avant de servir. Autre variante : ciseler les feuilles de chou et parsemer sur la soupe, façon persil.

    10. En gratin

    Comme un gratin de blettes (béchamel, noix de muscade, comté râpé), mais avec un supplément d'Asie grâce au chou chinois. Et, cerise sur la boule de sésame, on n'est même pas obligée de blanchir les feuilles avant, comme elles cuisent plus vite que les blettes ! Vingt minutes au four et le dîner est prêt.



    Petits rougets sur lit de pak choy
    Petits rougets sur lit de pak choy - © Copyright Henri Yeu/Aprifel


    Son pedigree

    Cultivé depuis plus de 6 000 ans dans l'Empire du Milieu, le chou chinois est un cousin de nos choux à nous. Mais avant de vanter ses mérites, voici une petite mise au point : pour les botanistes, la dénomination "chou chinois" recouvre une grande variété de choux apparentés. Celui qu'on nomme communément "chou chinois" en France (il a la couleur d'une endive et la forme d'une laitue romaine) s'appelle en fait pe-tsaï. Une autre variété, encore moins connue en France, mais très prisée en Chine s'appelle pak choy (voir photo ci-contre). Cette crucifère est plus petite, aux allures de blette et au goût mi-épinard, mi-chou.

    Ses atouts nutritionnels

    Abusez du chou chinois, votre balance s'en balance ! Même si vous en mangez un kilo entier, la facture énergétique dépassera à peine les 120 calories. Peu d'aliments font mieux. Son bagage vitaminique, lui, en revanche, pèse lourd : 45 mg de vitamine C pour 100 grammes, c'est presque autant que le citron (46 mg). Sans oublier ses apports en bétacarotène et en potassium, intéressants aussi. Et, oyez !, Demoiselles aux intestins fragiles : le chou chinois, contrairement aux autres choux, ne provoque généralement pas de flatulences…

    Bien le choisir

    Choississez-le assez lourd, au feuillage serré et aux feuilles bien blanches (les extrémités sont vertes ou jaunes). Les choux plus petits sont souvent plus tendres. Sachez aussi que le goût de ce légume change considérablement une fois cuit : il n'est pas moins bon, juste différent.

    Bien le conserver

    Il se garde environ deux semaines au frais. Se congèle aussi très bien.



    votre commentaire
  •  

    Compte-rendu de visite à la ferme du bout du haut chez Béatrice et Joël Laflandre et à la ferme de la Badrouille  chez Lydie Bellu et Patrick le dimanche 28 septembre 2013.

     

     

    Faisant route vers la chapelle sous Gerberoy à travers la très belle campagne isarienne, nous avons pensé à tous les bons produits que nous avons la chance de consommer depuis quelques années grâce au partenariat avec la plupart des producteurs.
    Nous nous sommes remémorés la visite de l'année précédente et en arrivant à la ferme du bout du haut nous avons retrouvé le sourire radieux de Béatrice alors que Joël était déjà sur l'exploitation pour débuter la visite avec des adhérents venus en famille.                                                
    Nous avons vu les chiens qui montaient la garde, les moutons, les pintades et toutes les volailles de la ferme ainsi que des poulets : Joël en a montré un tout petit à l’un des enfants présents qui s’est étonné de voir son cou dénudé…c’est de là qu’ils tirent leur nom : les poulets cou-nu !

    Toutes les volailles vivent sur 2 hectares de prairie dans des parcelles de 2000m2 clôturées.

    Il ya aussi des moutons qui servent à la tonte de l’herbe. Les animaux sont en plein air dans chaque enclos. Ils peuvent rester aussi dans les bâtiments en dur à certains petits moments. Un système d’ouverture et de fermeture de trappe permet de les faire rentrer dans les enclos lorsque nécessaire. Les enclos sont paillés pour la propreté et le confort des animaux. L’évacuation est faite régulièrement et les déchets sont transportés vers le lieu chez un agriculteur pour en faire du fumier (échange paille contre fumier).

    Les auges ont été fabriquées par Joël Laflandre pour recevoir l’alimentation mouillée pour l’appétence des animaux.

    Il y a aussi un carré d’orties (pour les dindes et les pintades : leurs fleurs sont hyper protéinées).

     

    Béatrice et Joël nous ont expliqué tout ce qui fait leur quotidien, prendre soin des animaux, les nourrir, surveiller leur état de santé, organiser la production de produits transformés, gérer et préparer les commandes, faire les marchés (à Beauvais le samedi matin et à Saint-Paul le dimanche matin), etc….

    Ils sont mobilisés un grand nombre d’heures par jour et la période de fin d’année est un moment plus dense encore, si c’est possible…

    Nous avons abordé la question de l’alimentation des bêtes : elle est composée de céréales (blé, orge, maïs) fournis par des producteurs avec un complément azoté ajouté sur place par Joël Laflandre.

    L’agriculteur de la commune fournit le blé et l’orge (cultivé par l’éleveur pour nourrir ses vaches laitières) et il concasse désormais aussi le blé (car l’outil qu’il possède est beaucoup plus rapide que le moulin que possède Joël Laflandre).

    Les grains de maïs non traités sont fournis par la coopérative de Gournay en Bray (Seine maritime).

    Le complément azoté est la féverole (protéine végétale). Le complément minéral vient de PAU car il est de qualité et il n’y a rien que des algues calciques broyées sans traitement pour les oligo-éléments.

    Nous avons aussi vu les lapins, qui prospèrent bien !

    Puis nous avons goûté au flan délicieux de Béatrice ! Un vrai régal.

     

    ( pour en savoir plus sur la ferme du bout du haut:

     

     

    http://www.keldelice.com/producteurs/ferme-du-bout-du-haut

    http://www.leparisien.fr/beauvais-60000/impossible-d-oublier-le-foie-gras-10-12-2011-1760721.php

     

     

     

     

    Après un super moment de convivialité nous avons quitté nos producteurs de volailles et nous sommes rendus chez Lydie et Patrick à la ferme de la Badrouille où nous avons été accueillis par les deux enfants du couple.

    Nous avons fait le tour de la ferme en passant par la chèvrerie et la salle de traite car c’était l’heure…Patrick s’en occupait. Juste derrière, nous sommes allés dans une salle que Lydie va transformer en salle d’accueil pour les visites pédagogiques. Lydie a commencé à tout débarrasser pour pouvoir faire les aménagements nécessaires.

    Nous avons ensuite vu le labo où Lydie passe beaucoup de temps et où les idées viennent pour les nouveaux projets…les fromages de chèvre cendrés étaient déjà en préparation : 1litre de lait pour un fromage ! Pour les fromages frais, il y a 2 jours d’égouttage avant le démoulage le jour-même de la distribution

    Lydie nous a ensuite présentés à Saucisse, le petit cochon de la famille et aux trois vaches dont une a mis bas d’une petite génisse le mardi 1er octobre.

    Nous avons poursuivi la visite en passant par l’extension de la chèvrerie que Lydie et Patrick vont réaliser (surtout Patrick), en grande partie grâce aux contrats de l’AMAP des Sablons ! Le nombre de biquettes (100 à l’heure actuelle) va doubler avec les naissances à venir et il faut pouvoir les accueillir et les loger.

    Nous avons vu le poulailler géant et, au loin, dans les champs deux chevaux. Le chien et le chat de la maison sont venus nous saluer et pour terminer la visite nous avons pu savourer un  très bon gâteau au chocolat, fabrication Lydie !

     

    Pour en savoir plus sur la ferme de la Badrouille et Lydie bellu :

    http://badrouille.free.fr/

     

     

    Nous remercions Béatrice et Joël et Lydie et Patrick et leurs enfants pour leur accueil. Nous sommes très heureux de pouvoir continuer ce partenariat de qualité et de voir que leurs projets se réalisent et se concrétisent.

     

     

    Ils ont toujours de nouvelles idées et le dimanche 13 octobre, au marché fermier de Beauvais, vous pourrez découvrir le nouveau produit de Joël et le nouveau fromage de Lydie qui concourent pour le prix (qu’ils ont gagné chacun à leur tour les deux dernières années !).

     

     

     




    votre commentaire
  • http://www.courrier-picard.fr/region/des-maraichers-en-association-ia186b0n208573

             Des maraîchers en association

    Publié le 11/10/2013

    Par DANIEL VERNET

    | AMBLAINVILLE |

    L'Association pour le maintien de l'agriculture paysanne vient de signer un nouveau partenariat avec des maraîchers de La Neuville-sur-Oudeuil.

    Les nouveaux maraîchers partenaires : Marie Ortegat et Mathieu Vassout.
     
    L'AMAP (Association pour le maintien de l'agriculture paysanne) d'Amblainville a rouvert ses portes jeudi 3 octobre, et pour la saison à venir, un nouveau partenariat s'est instauré entre l'association et de nouveaux maraîchers de La Neuville-sur-Oudeuil. Ces personnes apporteront des légumes de leur production tous les quinze jours à la salle des Hortensias d'Amblainville.

    L'AMAP compte depuis 2010 de nombreux producteurs partenaires pour de nombreux produits : fromage et yaourts de chèvre de Buicourt, produits à base de lait de vache de Héricourt-sur-Thérain, volailles et foie gras de La Chapelle-sous-Gerberoy, viande de porc de Villotran, viande de bœuf et veau de Sainte-Segrée, œufs de Canny-sur-Thérain, fruits de Frettemeule - partenariat plus récent - pain et gâteaux aux noix d'Abbeville-Saint-Lucien, et bière bio de Chaumont-en-Vexin.

    Une liste d'attente pour les légumes



    « Un contrat d'essai devrait être conclu pour des pommes dont la distribution aura lieu le 17 octobre prochain avec un nouveau producteur et un nouveau contrat démarre pour des tisanes de Saint-Germer-de-fly, explique la présidente, Susana Vikélas. Pour le moment, il n'y a plus de paniers de légumes disponibles et nous avons une liste d'attente. En revanche pour tous les autres contrats, il est encore possible de s'engager après avoir pris le bulletin d'adhésion à l'AMAP et avoir signé l'engagement global. »

    De notre correspondant

    DANIEL VERNET

    Pour adhérer à l'AMAP des Sablons (10 €), contactez Susana Vikélas, sa présidente au 06 64 51 32 58 ou par courriel à : amapdessablons@gmail.com.


    votre commentaire
  • http://www.oise.fr/reseau/event_calendar/view/78846/le-marche-fermier

     

    Marché fermier ce dimanche 13 octobre 2013

    Venez nombreux


    votre commentaire

  • votre commentaire
  •   Le Marché fermier !

    Le marché fermier 2013 ©CG60 / Le marché fermier 2013

    Dimanche 13 octobre, le parc de l'Hôtel du département à Beauvais prends des allures champêtre et se transforme en un marché fermier le temps d'une journée !

    Que diriez-vous de passer un dimanche d'automne dans la plus grande ferme du département de l'Oise ? Rendez-vous le dimanche 13 octobre 2013, à Beauvais, pour une nouvelle édition du marché fermier de l'Oise. Une occasion originale et conviviale de (re)découvrir le monde de la ferme.

    De 10h à 18h, rencontrez une soixantaine de producteurs locaux, déambulez sur le marché pour découvrir les produits du terroir. Dans une ambiance conviviale et familiale, prenez plaisir à pique-niquer et à goûter les spécialités de l'Oise, partagez ce moment et découvrez des animations à la fois ludiques et pédagogiques !

    Le marché fermier de l’Oise a été créé en 2005 afin de mettre en valeur les produits locaux et nos producteurs de l’Oise. Ce premier rendez-vous de l’automne est devenu incontournable autant pour les visiteurs que pour les exposants, chaque année plus nombreux. Fort de ce succès, le Conseil générale de l'Oise développe des animations autour du thème de la ferme : mini-ferme, lancer de ballots de paille, pesé du cochon, jeux pour les petits, ateliers créatifs, spectacle de marionnettes, parcours en mini-tracteurs et bien d’autres encore seront à découvrir.

    Le programme :

    Pour le plaisir des papilles :

    - grand marché des producteurs de l'Oise : plus de 70 producteurs locaux vous feront découvrir les produits du terroir et leurs spécialités
    - atelier et démonstration de cuisine par les Bistrots de Pays !
    - concours de cuisine des chefs cuisiniers de l'Oise

    Le village des enfants :

    - baptême en tracteur
    - maquillage : les enfants se transformeront en animaux...
    - spectacle de marionnettes

    Pour le plaisir de toute la famille :

    - à la découverte de la ferme : côtoyez lapins, cochons, poules, chèvres...
    - balade en calèche ou à dos d'âne
    - sculpture sur fruits et légumes : astuces, conseils pour découper des fruits et légumes et pour en faire de véritables éléments de décoration

    Horaires :

    De 10h à 18h

    Tarifs :

    Entrée libre et gratuite pour tous.

    Renseignements :

    Conseil Général de l'Oise
    1 rue Cambry,
    60024 BEAUVAIS Cedex
    Tél. 03 44 06 60 60
    www.oise.fr

     

    http://www.oisetourisme.com/Evenements-et-animations/Fetes-festivals-animations-visites/Marche-fermier-de-l-Oise

     

    Deux de nos producteurs partenaires participeront au concours du meilleur produit du terroir.


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • le chou chinois ou:Pe-tsaï

    1/les origines

    Le pe-tsaï, chou chinois ou chou de Pékin (chinois : 白菜 ; pinyin : báicài), est une plante herbacée de la famille des Brassicacées, largement cultivée comme plante potagère pour ses feuilles consommées comme légume.

    Noms scientifique : Brassica rapa L. subsp. pekinensis (Lour.) Hanelt (synomyne : Brassica pekinensis (Lour.) Rupr.), famille des Brassicacées, sous-famille des Brassicoideae.

    Noms vernaculaires : pe-tsaï, chou de Pékin, chou chinois, chou de Shanton.

    Ce chou est une plante bisannuelle qui a des feuilles entières allongées et dressées formant une « pomme » de forme allongée.

    La tige florale qui apparaît durant la deuxième année porte des fleurs jaunes regroupées en épi. Les fruits sont des siliques renfermant de petites graines noires sphériques.

    Utilisation

    Dans son pays d'origine, la Chine, le chou est le légume par excellence, et le caractère , pinyin cài désigne les plats de viande et de légumes, tout ce qui n'est pas le / fàn (riz, nouilles, mantou, galettes, bouillies). Il est consommé en soupe, en salade, sauté avec la viande, en composant de la farce des Jiaozi (raviolis) et des galettes fourrées.

    Fermenté, le Pe-Tsaï est à la base du kimchi dans la cuisine coréenne.

    Il est consommé :

    • En bouillon, faire dorer un peu d'oignons émincés, ajouter un peu d'ail et de gingembre pilé, puis de l'eau salée que l'on porte à ébullition. Jeter le chou préalablement émincé (grossièrement) laisser cuire entre 5 et 7 minutes.
    • À l'étouffée, même procédé, mais on met les morceaux de chou émincé dans la cocotte, sans eau, on sale et on couvre pendant 8 – 9 minutes, selon qu'on le préfère al dente ou bien cuit.
    • Cru, feuilles émincées en salade avec une vinaigrette.

    Travaux scientifiques

    Le génome de Brassica rapa L. est en cours de séquençage par le consortium Brassica rapa Genome Project1.

    Économie

    En 2010, le mauvais temps en Corée du Sud provoque une baisse de la récolte de choux chinois : 150 000 tonnes au lieu de 250 0002. En conséquence, le prix du chou a quadruplé, atteignant les 7,30 euros pièce, et provoquant par répercussion une augmentation des prix de tous les fruits et légumes locaux2. Le gouvernement a réagi en suspendant les droits de douane sur les choux chinois, et en annonçant l'importation de 100 tonnes de choux et de 50 tonnes de radis en provenance de Chine2. Cette annonce a provoqué la hausse du prix du chou en Chine, ainsi que d'autres légumes3.

    • Le Bok choy ou Pak choï (Brassica rapa L. subsp. chinensis), une autre variété de chou chinois

    2/ les bienfaits du chou chinois cru ou cuit:

    http://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/EncyclopedieAliments/Fiche.aspx?doc=chou_chinois_nu


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Maïs doux

     
     
    Épis nus de maïs doux
    On reconnait les grains de maïs doux au fait qu'ils se fripent lorsqu'ils arrivent à maturité car ils contiennent de la dextrine et non de l'amidon. Mais ces grains ne s’abîment pas pour autant et peuvent être resemés la saison suivante.

    Le maïs doux, ou maïs sucré, est une catégorie de maïs (Zea mays), cultivée spécifiquement pour sa teneur en sucre élevée. Le maïs doux est communément appelé sweet corn dans les pays anglo-saxons. Au Brésil, on l'appelle milho verde, c'est-à-dire maïs vert.

     

    Description

    Article détaillé : Maïs.

    Le fruit d'un plant de maïs doux est le grain, qui est pour les botanistes un caryopse.

    L'épi est constitué par le regroupement de plusieurs centaines de grains sur l'axe central, la « rafle ». L'épi est étroitement enveloppé de feuilles modifiées appelées « spathes ».

    Les « soies » sont de longs filaments qui émergent des spathes et qui sont les styles des fleurs pistillées. Il convient de retirer à la main les spathes et les soies pour faire cuire l'épi, mais pas pour le faire rôtir.

    Utilisation

    Le maïs doux est couramment consommé comme légume, plutôt que comme grain de céréale. Les épis sont cueillis un peu moins d'un mois après la floraison femelle en leur état « tendre ») avant que les grains ne mûrissent trop et se chargent en amidon. Ils sont à consommer (ou à congeler) relativement rapidement. Les grains sont bouillis ou cuits à la vapeur et consommés comme mets d'accompagnement, parfois avec du beurre ou du sel, et sont quelquefois employés comme garniture de pizza (en particulier au Royaume-Uni). L'épi de maïs doux peut aussi se consommer entier, après avoir été bouilli, cuit à la vapeur ou grillé ; on peut alors manger les grains en mordant directement dans l'épi ou les détacher avec un couteau et les servir dans une assiette avec du beurre.

    Dans la cuisine chinoise, et de plus en plus dans d'autres types de cuisines, l'épi est cueilli très jeune, quand la rafle est encore tendre, et qu'il mesure moins de cinq centimètres de long, et consommé entier. Le maïs utilisé à cette fin est souvent appelé « mini-maïs ».

    Le maïs doux peut aussi se consommer sous la forme de grains secs, que l'on laisse mûrir sur la plante. Les grains, détachés de la rafle, peuvent se cuisiner à l'huile, et contrairement au maïs éclaté ils augmentent de volume jusqu'au double de leur taille originale. On peut également préparer avec cette plante une soupe, appelée soupe de maïs doux.

    Histoire botanique

    L'origine du maïs doux est sujet à débats. Il serait apparu spontanément vers l'an 1000 dans les champs de maïs denté de Bolivie ou du Pérou par suite d'une mutation récessive du gène su qui régit la conversion du glucose en amidon1. Le maïs doux a d'abord été transmis aux immigrants européens en Amérique du Nord par les Amérindiens (probablement des Iroquois2) vers 1779. Les Indiens en cultivaient peu car le maïs doux se conserve mal et sa douceur est assez brève car le sucre se transforme vite en amidon si on dépasse la bonne date de récolte (soit 20 à 25 jours après la date de floraison femelle).

    Depuis cette époque des centaines de cultivars ont été sélectionnés ; cependant la transformation rapide en amidon a toujours été un problème pour la conservation du maïs doux.

    La production commerciale au cours du XXe siècle a vu la montée des mutants se (sugary enhanced), qui sont plus adaptés pour la vente en local à l'état frais, et dans les années 1950, on a isolé le gène sh2 (shrunken-2) qui minimise la production de l'enzyme qui convertit le sucre en amidon, la retardant parfois de plus d'une semaine.

    Génétique

    Les gènes Sugary (su-1), Sugary enhanced (se), Shrunken (sh2) et Brittle (bt) sont les gènes récessifs qui font que le maïs doux produit une plus grande quantité de sucre (10 à 44% contre 3,5% pour le maïs non doux) avant de le transformer en amidon3.

    Si on croise un maïs doux (donc porteur des gènes récessifs su-1, se et sh2) avec un maïs non doux (donc porteur des gènes dominants Su-1, Se et Sh2), on obtient obligatoirement un maïs non doux, raison pour laquelle on doit isoler les cultures de maïs doux de celles des autres types de maïs.

    Le gène su est sur le chromosome 4, le se est sur le chromosome 2, le sh2 sur le chromosome 3 et le gène y de la couleur du grain sur le chromosome 64.

    La qualité d'un maïs doux provient de plus de 30 caractères génétiques qu'il est très difficile de rassembler. Tous les grains fripés sont sucrés mais un grain issu d'un croisement non contrôlé pourra donner un épi avec des grains à peau trop épaisse ou avec un mauvais goût.

     

    Comment cuire le maïs doux ?

    Corn_mais_milho Maïs doux d'automne

    Le maïs doux peut se manger cru, il est meilleur cuit.
    (Si vous cultivez du maïs doux au sud du 38° parallèle, semez-le tard de façon qu’il mûrisse en septembre/octobre, l’été est trop chaud pour lui)
    Il y a 4 façons de le cuire
    1 - Grillé, à l’américaine sur le coin du BBQ, mais le maïs séche il est moins croquant, goût de brûlé possible.
    2 - A la vapeur, ou
    3 - classique : cuit à l’eau salée 5 minutes, après l’avoir débarrassé de son enveloppe, mais on peut aussi le cuire
    4 - au micro-onde, entier dans son enveloppe autant de fois 2 minutes qu’il y a de pomme de maïs.
    C’est la méthode de Margot.

    Corn_on_the_cob_mas_doux Maïs doux cuit au micro onde, bien chaud mais moins snaki qu'à l'eau salée


    votre commentaire
  • Le maïs doux : des vitamines pour être en forme

     
     

     

    Le maïs doux est riche en vitaminesContrairement à ce que l'on pourrait penser, le maïs doux se rapproche plus des légumes frais que des céréales. Le maïs est un légume qui rassasie très vite et comble l'appétit. Ce légume nous vient du Mexique et c'est en 1942 que Christophe Colomb fait la découverte des épis de maïs, légumes riche en vitamines.

    Quelles vitamines trouve-t-on dans le maïs ?

    Les épis de maïs sont très riches en fibre et contiennent en moyenne 4 g de fibres pour 100 g de maïs. A savoir que la majorité des fibres est contenu dans la peau. Les fibres que renferme le maïs sont efficaces pour lutter contre les problèmes de transit mais encore faut-il avoir bien mastiquer les graines pour qu'elles soient bien digérées.

    Le maïs est également source de vitamine B où la contenance est généralement deux à trois fois plus élevée que dans les autres légumes frais.

    Ce légume aurait des bienfaits sur l'équilibre nerveux et musculaire grâce à son magnésium. Pour 100 g de maïs, on y retrouverai environ 33 mg de magnésium.

    Le maïs contient également des oligo-éléments, du zinc et du fer. Il est aussi plus riche en lipides que les légumes verts, qui sont pour la plupart des acides gras essentiels.

    Comment se mange le maïs ?

    Avant de le manger, il faut avant tout choisir du bon maïs. Ses feuilles doivent être vertes pâles. Les grains de maïs doivent sembler jaunes, brillants et rebondis. Mis à part les rayons frais, le maïs doux se trouve aussi en surgelé et en conserve. Frais, il se conserve avec ses feuilles dans le bas du réfrigérateur pendant une semaine.

    Le maïs se mange chaud ou froid, à la vapeur, cuisiné au micro-ondes, à la poêle, au four, etc. Le maïs frais devra être cuisiné avant d'être consommé. En conserve, il pourra être dégusté de suite.

    Le maïs permet aussi de fabriquer certains alcools tels que le Gin, le whisky, etc, mais aussi des huiles végétales.

    Enfin, c'est également avec le maïs qu'on fait du pop-corn.


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Céleri

     
     

    Le céleri (Apium graveolens L.) ou ache des marais, persil des marais ou encore cèleri en nouvelle orthographe, est une plante herbacée bisannuelle de la famille des Apiacées, cultivée comme plante potagère pour ses feuilles et sa racine tubérisée consommées comme légumes.

    À l'état sauvage, il pousse au bord des ruisseaux et dans les endroits humides.

    Nomenclature et étymologie

    Le terme « céleri » est à l'origine un mot emprunté à un dialecte italien, le lombard, seleri qui dériverait du latin selinon, mot désignant à l'origine la plante en grec.

    Cette espèce est désignée de nombreux noms communs : céleri, aussi écrit cèleri, ache des marais, ache odorante, ache puante, persil des marais, persil odorant, céleri d'Italie... auxquels il faut ajouter les noms des variétés ci-dessous.
    de : Staudensellerie, Stielsellerie, en : celery, es : apio, apio bastardo.

    Dans l'Antiquité, la plante est connue sous le nom de « Selenon », ou « plante de la lune ». À rapprocher de Séléné, la déesse grecque de la Lune.

    On distingue quatre grandes variétés dans cette espèce, dont trois sont couramment cultivées :

    • Apium graveolens var. graveolens : l'ache des marais ;
    • Apium graveolens var. dulce : le céleri-branche ou céleri à côtes ;
    • Apium graveolens var. rapaceum, le céleri-rave ou céleri-navet;
    • Apium graveolens var. secalinum : le céleri à couper.

    Description

    Céleri à couper
    Coupe d'une branche de céleri
    Céleri tel qu'on le trouve généralement sur les marchés

    Caractéristiques

    données d'après : Julve, Ph., 1998 ff. - Baseflor. Index botanique, écologique et chorologique de la flore de France. Version : 23 avril 2004.

    Utilisation

    Alimentaire

    Le céleri (rave et feuille) est utilisé en cuisine à la fois comme condiment et comme légume. Il est allergène pour certaines personnes.

    Le céleri est très peu calorique (entre 10 et 20 kilocalories pour 100 grammes). Selon certains auteurs, sa digestion consomme plus de calories que l'aliment n'en apporte1.

    Ses feuilles tendres, finement ciselées, peuvent servir à relever diverses préparations, notamment soupes et sauces. Leur goût, plus fort que celui du persil, rappelle la livèche.

    Les côtes du céleri-branche se consomment cuites le plus souvent sautées à la sauce blanche ou à la crème ou bien en gratin (légume similaire aux côtes de blettes). Elles peuvent également se consommer crues, coupées finement, dans des salades.

    La racine du céleri-rave, à saveur un peu piquante, se consomme crue, râpée en rémoulade, ou cuite, par exemple en gratin, en soupe, en purée ou sautée.

    Les graines sont utilisées pour parfumer le poisson et le chou-fleur, et peuvent, infusées dans de l'eau de vie, donner une liqueur.

    Les côtes et les épluchures sont parfois ajoutée au bouquet garni.

    Le sel additionné d'extrait des fruits ou de graines de céleri, séchées et broyées, est un condiment connu sous le nom de « sel de céleri ». Cet assaisonnement peut remplacer le sel de table, parfumer les légumes frais, les soupes et surtout le jus de tomate ainsi que de nombreux cocktails.

    Médicinale

    Les propriétés alimentaires du céleri sont bien connues, mais il existe aussi des vertus médicinales : les feuilles et les racines sont dépuratives, diurétiques, carminatives, stomachiques, toniques, et fortement stimulantes. La plante est également censée être aphrodisiaque.

    Un aspect rarement évoqué est sa propriété photo-sensibilisante en particulier pour les radiations UV. Les feuilles de céleri contiennent des furanocoumarines phototoxiques (psoralène et ses formes méthoxylées xanthotoxine et bergaptène). Un contact prolongé avec la plante suivi d'une exposition au soleil peut provoquer des accidents cutanés. Les dermatites aiguës sont surtout observées chez les agriculteurs ou les employés des industries de transformation. Les risques de phototoxicité après ingestion sont plus limités. Il est cependant parfois dangereux de s'exposer au soleil après avoir mangé du céleri. Le risque en est de graves brûlures. La dangerosité est fonction de la dose consommée et de l'indice UV du moment2.

    Le céleri est riche en nitrates qui se transforment en nitrites grâce à des bactéries de la bouche. D'après une étude en 2010, ces nitrites sont impliqués dans la vasodilatation et la fluidification du sang, ce qui améliore l'afflux de sang dans certaines zones du cerveau qui, avec le temps, sont moins perfusées. Une dose quotidienne de céleri peut potentiellement prévenir la démence et la baisse cognitive en améliorant cet afflux sanguin cérébral3.

    Symbolique et aspects culturels

    Le 23 octobre était le jour du céleri, 2e jour du mois de Brumaire dans le calendrier républicain français.

    L'androsténone (5α-androst-16-en-3-one) a été la première phéromone de mammifère à être identifiée mais ce stéroïde est également présent dans le cytoplasme du céleri.

     


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • En ces temps qui refroidissent, voici la recette du vin chaud de jeudi dernier, pour réchauffer les corps après une activité extérieure (ou pour le plaisir !) :

    VIN CHAUD pour 8/10 verres
    une bouteille de vin (type côte du Rhône ou Sidi Brahim)
    1/2 litre d'eau
    le jus d'une orange et d'un citron
    une pincée de gingembre
    une étoile d'anis (facultatif)
    1/2 baton de cannelle
    1 clou de girofle
    50 g de sucre
    1 orange coupée en 16
    1 citron coupé aussi en 16
    (pour le vin chaud de jeudi, nous avons mis : 3l de vin rouge, 1,5l d'eau, le jus de deux oranges et de deux citrons, 3 pincées de gingembre, 3 ou quatre étoiles, 3 bâton de cannelle, 4 clous de girofle, 150 g de sucre, 2 oranges et 2 citrons coupés en morceaux).  Mettre sur le feu, le vin, l'eau, les jus les épices jusqu'au frémissement
    Puis ajouter les morceaux d'orange et de citron
    Mijoter à feu très doux pendant une heure
    Puis dans les 10 dernières minutes, ajouter le sucre.
    Conseil : filtrer le vin chaud dans une passoire, ça évite les morceaux de
    fruits qui gênent le service.
     On peut mettre du miel à la place du sucre et bien sûr pour des quantités plus importantes, on réduit les proportions pour les
    fruits coupés par exemple. Si vous en faites 5 ou 6 litres, inutile de mettre 5 ou 6 oranges et citrons !
    Merci à Amandine et Marianne pour la recette et à Geneviève pour la réalisation!!!  Bonne dégustation


    votre commentaire