• Scop-Ti: les ex-Fralib lancent une campagne de financement participatif

    http://www.scop-ti.fr/campagne-de-sociofinancement.html

     

    Scop-Ti: les ex-Fralib lancent une campagne de financement participatif

     

     Cela fait trois ans que les ex-Fralib se sont regroupés pour reprendre l'activité de leur ancien employeur Unilever. Leurs thés et infusions se vendent bien mais la trésorerie manque.

    La Société coopérative ouvrière provençale de thés et infusions, Scop-Ti, manque de trésorerie. Pour lutter contre ce problème, les ex-Fralib, ces anciens salariés d'Unilever qui ont repris leur entreprise en 2014, ont lancé, courant juillet, une campagne de financement participatif. Ils ont récolté plus de 110.000 euros, provenant essentiellement de dons d'un millier de particuliers, mais cette somme n'est pas suffisante et leur crowdfunding se poursuit.

    Lire aussi» Les ex-Fralib ont lancé leur marque de thé

     

    La société n'est pas encore dans le rouge mais les salariés ne sont toujours pas assurés de leur avenir. Olivier Leberquier, ancien délégué syndical CGT des Fralib reconverti en directeur général délégué de la Scop, explique avoir «lancé cette campagne avant de se retrouver complètement coincé. Plus vite on n'aura plus besoin de ce mode de financement mieux ce sera pour nous», poursuit-il. Surtout que, hormis ce manque de trésorerie - en grande partie dû aux conditions dans lesquelles s'est relancée l'entreprise -, les salariés de Scop-Ti se disent «satisfaits de leurs avancées: on a quadruplé le chiffre d'affaires entre 2015 et 2016 et aujourd'hui on a déjà dépassé celui de l'année dernière», souligne le directeur général. L'exercice 2017 devrait donc être satisfaisant, Olivier Leberquier estime d'ailleurs que le seuil d'équilibre de la Scop est atteignable au deuxième semestre de 2018.

     

    Revoir le packaging et séduire la grande distribution

    La campagne de financement a pour objectif de financer des projets importants pour l'entreprise. «Bien que nos carnets de commandes soient remplis, il y a un risque que nous ne puissions les honorer, faute de fonds: car il faut que nous puissions acheter les matières premières, les emballages... et tout cela ne peut se faire sans trésorerie», explique Olivier Leberquier. En priorité, les salariés aimeraient revoir le packaging de leurs produits: «Contrairement à nos concurrents, on travaille uniquement avec des arômes naturels, et pas d'arômes de synthèse. Seulement, ce n'est pas précisé sur notre packaging. On a donc besoin de faire des modifications pour le faire évoluer et permettre aux clients de bien voir dans le rayon pourquoi notre produit est différent des autres», expliquait Olivier Leberquier sur Europe 1. Scop-Ti souhaite également accélérer ses ventes, notamment en allant faire de l'œil à la grande distribution mais, pour ce faire, il faut passer par des investissements dans les moyens de production afin de satisfaire une demande accrue.

    La Scop ne se contente pas de demander de l'aide à de généreux donateurs. Pour soutenir leur entreprise, les salariés ont accepté de voir leurs salaires diminuer par rapport à ce qu'ils touchaient en tant qu'employés d'Unilever. Ils ont également renoncé, cette année, à leur treizième mois.


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  • Coordination Rurale

    http://www.coordinationrurale.fr/hauts-de-france/ Alors que les États généraux de l’alimentation ont débuté depuis 2 semaines, la Coordination Rurale est très inquiète de la tournure des discussions. Et pour cause, les responsables de la crise agricole (présidents de coopératives, industries agroalimentaires, distribution…) sont aux manettes des ateliers et pas vraiment décidés à rompre avec le système actuel… qui fonctionne pour eux !

    EGA : le cri d’alarme de la CR

    Aucune logique de rupture

    Les idées, qui ont pourtant montré leurs limites, sont ressassées et rien n’est fait pour ouvrir le débat. « Il nous est interdit de parler des prix mondiaux et du besoin de changer la PAC. La plupart des discussions s’orientent vers une solution unique déplorable : l’export… » constate Bernard Lannes, président de la CR.

     

    Des ateliers mal orientés ?

    Il est totalement aberrant et irresponsable de voir que l’un des trois axes retenus par l’atelier 2, en charge des synergies et des initiatives locales, est l’exportation !

    Il en est de même pour l’atelier 6 qui traite de l’adaptation de la production aux besoins des différents marchés et aux besoins des transformateurs alors qu’il y a bien d’autres pistes intéressantes à explorer localement et nationalement, à commencer par la reconquête du marché intérieur, le rééquilibrage de la production, l’étiquetage, l’approvisionnement de la restauration collective et de toute l’alimentation hors domicile…

    L’ultralibéralisme de l’atelier visant à faire rayonner l’excellence du modèle alimentaire de la France (atelier 4) pose question puisque la France est loin d’être autosuffisante et importe à tour de bras des protéines végétales, de la viande, des fruits et des légumes.

    Enfin, malgré les interventions du service des statistiques du ministère de l’Agriculture et de l’Office de la formation des prix et des marges (OFPM) qui avaient alerté sur le problème des prix agricoles trop bas, dans l’atelier 5, qui vise pourtant à rendre aux producteurs des prix plus rémunérateurs, il n’est plus question de trouver des solutions pour que les coûts de production des agriculteurs soient au moins couverts… La Coordination rurale rappelle que le prix payé aux producteurs doit être basé à partir d’un coût réel de production auquel il faut rajouter une juste rémunération.

    Les premières réunions ne laissent malheureusement pas grand espoir à la Coordination Rurale de voir la situation des agriculteurs s’améliorer grâce aux EGA. Cependant, la CR reste déterminée à y faire entendre la voix des agriculteurs et continuera d’y présenter des propositions nouvelles et longuement réfléchies, jamais mises en place, et permettant surtout de redonner du revenu, de l’envie et des perspectives d’avenir aux jeunes pour qu’ils s’installent sereinement et dans la durée.

     

     


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  • Bonjour,
    Je vous relaie l'information donnée par des adhérents que je remercie : projection du film FOOD COOP de Tom BOOTHE à la salle UTOPIA de Saint Ouen l'Aumône ce mardi 8 novembre 2016 à 20h30 (arriver un peu avant pour prendre les places), projection suivie d'un débat avec le réalisateur;
    Voici quelques liens pour présenter le film :
    https://www.cinemas-utopia.org/saintouen/index.php?id=3219&mode=film
    http://www.boiteaculture.com/avignon-tom-boothe-a-utopia/

    Bonne journée


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  •  Semaine de la solidarité internationale du 12 au 20 novembre 2016 :

     

    Comme chaque année,

    Antoinette LIGAN, la présidente de l'association Cap Sud Emergences avec laquelle nous avons déjà participé à cette manifestation,

    vous convie à participer aux différentes animations qui se dérouleront à Méru.

     

    Bonjour à tous,

     

     

     

    Dans le cadre de la Semaine de solidarité internationale, manifestation organisée à Méru par l’association Cap Sud Emergences, la médiathèque, vous convie au

     

     

     

     vernissage de l’exposition :« Naissance d’un monde durable », samedi 12 novembre, 16h30.

     

     

     

    Suivi de la projection du film documentaire « Demain » au cinéma Le Domino, 17h30

     

     

     

    et d’un débat au Centre culturel

     

     

     


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  • Gardons le contact N°82    27/09/2016
     
     
    Bonjour à toutes et tous, chers membres et ami(e)s de Novissen !

    Nous vous rappelons cette conférence
    avec une chercheuse passionnante !
    Vous vous sentez concernés par le contenu de vos assiettes ?
    par le sort des agriculteurs ?
    par l'avenir de l'élevage ?
    par la condition animale dans les fermes et les abattoirs ?
    Alors, VENEZ NOMBREUX
    et FAITES VENIR vos amis et connaissances !


    A très bientôt !
     le CA de Novissen.

     
     
    Rue du Levant,80132,Drucat

     


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  • Bonjour,
    Voici un lien transmis par une adhérente que je remercie.
    Il faut juste enlever un "e" au dernier mot du titre de l'article et ce sera tout à fait exact!
     
    Bien sûr ce sont des éléments que nous savons et Lydia et Claude Bourguignon, agronomes libres et indépendants, ne cessent de le dire depuis des décennies...et d'autres l'ont déjà mis en oeuvre...pas forcément besoin d'aller jusqu'aux expérimentations américaines mais on ne va pas s'en plaindre!

    En plus ďavoir mis du temps à s'en rendre compte, grosse faute dans le titre... http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/agriculture/l-interet-du-non-labour-confirmee_107236


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  •  

    après les 1000 vaches, un élevage de 176 000  poules à Songeons. Qui dit mieux?
    Enquête publique en cours.

     

    http://www.oise.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement/Les-installations-classees/Par-enquetes-publiques/GAEC-de-LIMERMONT-a-Songeons

     

     


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  • Interdiction des tueurs d'abeilles : ne tombez pas dans le panneau
     

    Chère amie, cher ami de POLLINIS,

    Je vous ai envoyé l'email ci-dessous la semaine dernière : il contient des révélations fracassantes sur les manigances des lobbies de l'agrochimie et comment ils comptent, avec l'appui des autorités censées les contrôler, imposer de nouveaux tueurs d'abeilles en Europe – au détriment de nos chères pollinisatrices, de votre alimentation et celle de vos enfants !

    Vous étiez peut-être en vacances et n'avez pas eu l'occasion de le lire, c'est pourquoi je me permets de vous le renvoyer : chaque citoyen, en France, en Belgique et dans l'Europe entière, a le droit de savoir ce qui se joue en ce moment avec son environnement et sa santé.

    Plus de 100 000 personnes ont déjà signé la pétition pour faire barrage aux lobbies, j'espère que je peux compter sur vous pour rejoindre le mouvement et faire monter la pression - pour que notre voix soit plus forte que celle des agrochimistes !

    Bien cordialement,

    Nicolas Laarman

    Délégué général de POLLINIS

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    ALERTE !

    L'interdiction des néonicotinoïdes qui vient d'être décidée en France et en Belgique est un leurre destiné à endormir les citoyens qui luttent depuis des années pour l'interdiction des tueurs d'abeilles.

    L’industrie agrochimique est en train de mettre en place en Europe un plan de grande envergure pour introduire sur le marché de nouveaux pesticides tueurs-d'abeilles et sécuriser leurs centaines de millions d'euros de profit annuel…

    … au détriment des abeilles, de la santé et l’alimentation de toute la population !

    Ne perdez pas une minute : agissez pour les contrer ! 

     
     
     

             Madame, Monsieur,

    Une manipulation de grande envergure est en train de se mettre en place à Paris, Bruxelles, et ailleurs en Europe, aux dépens des abeilles et de la biodiversité...

    ...Une insulte pour tous les citoyens qui se battent depuis des années pour faire interdire les pesticides « tueurs d'abeilles » dans le monde !

    Nous devons nous y opposer massivement avant qu'elle n'ait des conséquences dramatiques sur nos cultures et notre alimentation à l'avenir. Je vous demande de signer de toute urgence la pétition ci-jointe et de la faire circuler autour de vous autant que vous le pourrez.

    Il n'y a pas un instant à perdre.

    Après des années de lutte acharnée des citoyens et des apiculteurs, la France, après le gouvernement belge début juillet dernier (1), s'est officiellement décidée à interdire en 2020 les pesticides néonicotinoïdes extrêmement dangereux pour les abeilles (2).

    Les associations ont crié victoire et baissé la garde. Pourtant...

    Ce qui pourrait passer pour une grande victoire est en réalité un plan désastreux imposé par les multinationales agrochimiques comme Bayer, Syngenta, Dow Chemicals, DuPont et compagnie, qui mènent depuis des mois un lobbying effréné et extrêmement agressif pour arriver à ce résultat.

    Leur Objectif : empêcher l'interdiction RÉELLE des pesticides tueurs-d'abeilles... Pour sécuriser les centaines de millions d'euros de profit annuel que ces produits rapportent aux grosses firmes qui les produisent... et s'assurer que l'agriculture européenne ne sortira pas de sitôt du tout chimique !

    Le plan qu’ils sont en train de mettre en place, avec la complicité des autorités censées les contrôler, se résume en deux étapes :

    Laisser les citoyens gagner du terrain sur l’interdiction des néonicotinoïdes actuels…

    … et pendant ce temps, en catimini, obtenir la mise sur le marché de nouveaux néonicotinoïdes, camouflés sous d’autres classifications chimiques pour ne pas entrer dans le champ de l’interdiction !

    Ça paraît invraisemblable, et pourtant c’est la stricte vérité : pendant que vous et moi et toutes les associations de protection de l’environnement luttions pour faire interdire les néonicotinoïdes, voici ce à quoi était occupée l’agrochimie à Bruxelles :

    Eté 2015 : les lobbies agrochimiques obtiennent l’autorisation, dans des conditions douteuses, d’un premier néonicotinoïde nouvelle génération, le Sulfoxaflor. Son mode d'action et ses effets sur les insectes sont en tout point similaires aux néonicotinoïdes, mais l’agrochimie lui donne une autre classification chimique pour lui permettre de rester sous les radars. Le produit n’a même pas été testé sur les abeilles avant d’être autorisé, alors que la procédure européenne l’exige, et que les premières études menées alertent contre le risque pour les abeilles (3).

    La supercherie passe comme une lettre à la poste :

    en plein moratoire européen sur les néonicotinoïdes et au plus fort des mobilisations citoyennes, un nouveau tueur d’abeille vient d’être autorisé par Bruxelles sans que personne ne s’en rende compte !

    Automne 2015 : Un nouveau néonicotinoïde caché, le Flupiradifurone, obtient l’agrément des autorités sanitaires et de la Commission européenne. Ici aussi, mode d'action et effets strictement similaires à ceux des néonics, mais classification chimique différente pour ne pas entrer dans le champ d’une interdiction potentielle qui était déjà en discussion en France et en Europe. Et ici aussi, procédure de validation plus que douteuse : alors que l’EFSA, l’autorité sanitaire européenne elle-même, met en garde contre un « risque élevé pour les abeilles » (4), le pesticide est quand même autorisé sans restriction !

    Et ce n'est pas tout :

    - Dans les mois ou peut-être même les semaines à venir : au moins deux nouvelles substances d'insecticides tueurs d'abeilles vont être présentées aux autorités sanitaires pour approbation : le Triflumezopurim et le Dicloromezotiaz. Leur mode d'action sur les insectes est extrêmement proche des néonicotinoïdes traditionnels, et leur toxicité forte sur les abeilles a été démontrée par les scientifiques (5).

    Malgré cela, tout porte à croire que les autorités sanitaires et les institutions européennes seraient prêtes à autoriser leur mise sur le marché en procédure accélérée pour remplacer les néonicotinoïdes interdits.

    Comment tout cela est-il encore possible ?!!

    Après tous les rapports alarmants qui ont été publiés ces dernières années, sur les abeilles, la biodiversité, la santé et l'avenir de nos productions alimentaires...

    Comment se fait-il que les responsables politiques et les autorités sanitaires laissent encore les lobbys dicter leur loi à tous les peuples, eux qui sont censés protéger nos intérêts et notre santé ?

    Ce plan indigne concocté par les multinationales agrochimiques nous promet un désastre environnemental sans précédent !

    Nous pouvons encore empêcher cela. MAIS IL FAUT AGIR VITE : après avoir reçu le feu vert des institutions européennes, les néonics cachés vont être autorisés dans chaque pays de l’Union Européenne, et il ne faudra que quelques mois pour qu’ils commencent à être déversés massivement dans les champs.

    Là où nous pouvons encore les coincer, c’est juste avant qu’ils ne soient autorisés au niveau national : alors que les institutions européennes autorisent des « substances », les Etats membres, eux, ont la main sur l’autorisation des « produits » - les pesticides eux-mêmes, les préparations qui seront déversées sur les cultures.

    En agissant massivement sur nos chefs d’Etat et de gouvernement, nous pouvons obtenir le blocage de ces produits, pays par pays !

    C’est possible, en montant rapidement une puissante coalition de citoyens déterminés, prêts à se mobiliser auprès de leur gouvernement pour faire immédiatement barrage aux nouveaux tueurs d'abeilles cachés.

    Aidez-nous à faire barrage, et exiger l'interdiction RÉELLE de tous les pesticides tueurs-d'abeilles ! Signez dès maintenant la pétition pour contrer les lobbys en cliquant ici !

    Si nous ne faisons rien, voici ce qui va se passer dans les 2 prochaines années :

    les néonicotinoïdes cachés et les nouveaux tueurs d'abeilles auront remplacé les néonicotinoïdes interdits et continueront à être utilisés sur les cultures, en enrobage de semences ou en pulvérisation, contaminant ainsi durablement les sols, les nappes phréatiques et les cours d'eau...

    - les cultures de printemps et d'été - non traitées avec les neonicotinoïdes ancienne génération désormais interdits - seront infectées par les résidus de pesticides nouvelle génération, et empoisonneront les abeilles...

    - la mortalité massive des abeilles ne déclinera pas, malgré la soi-disant "interdiction" des pesticides tueurs d'abeilles ;

    - Syngenta, Bayer, Dow Chemicals DuPont et tous les laboratoires agrochimiques pourront à loisir clamer que leurs produits n'ont rien à voir avec la mortalité des abeilles, et qu'il n'y a pas de raison de sortir l'agriculture du tout chimique.

    Et là, il ne nous restera plus que nos yeux pour pleurer…

    Il faut tuer dans l'œuf ce plan diabolique, et exiger de nos dirigeants nationaux qu’ils bloquent l’autorisation de ces poisons dans chacun de nos pays !

    Imaginez un peu : il a fallu 20 ans de massacre crescendo des abeilles, de messages de détresse des scientifiques et des apiculteurs, de mobilisations citoyennes par millions à travers l’Europe, pour obtenir enfin l’interdiction des néonicotinoïdes actuels…

    … On ne va pas laisser l’agrochimie nous en remettre pour des années de massacre intensif avec des nouveaux pesticides tout aussi, et peut-être plus dangereux encore pour les abeilles que les précédents !

    Partout en Europe, les populations d’abeilles déclinent de façon alarmante. Et au fur et à mesure qu’elles disparaissent, ce sont tous les espoirs pour une agriculture plus propre et pérenne, respectueuse de l’environnement dont elle dépend, qui s’amenuisent…

    Il est temps de dire STOP à l’emprise des puissants lobbies agrochimiques sur l’agriculture en Europe !

    A force de remobiliser les citoyens, notre première pétition contre les néonicotinoïdes a réuni plus d’1,2 million de signatures en deux ans : ce qui a donné un poids énorme à nos actions de contre-lobbying citoyen et nous a permis d'obtenir l’interdiction de ces poisons ancienne génération.

    Pour couper court à ces nouvelles menaces pour les abeilles et l’avenir de notre alimentation, nous devons accélérer la cadence : aidez-nous à atteindre à nouveau 1 million de signatures en un mois !

    Et deux millions le mois suivant – de quoi faire reculer n'importe quel chef de gouvernement européen !

    Nous pourrons rapidement faire entendre aux autorités qu’un bloc uni et massif de citoyens refuse qu’on sacrifie impunément les abeilles, et la santé et l’alimentation de toute la population, pour servir les intérêts court-termistes de quelques grosses multinationales agrochimiques bien placées !

    Je vous demande de faire deux choses simples mais essentielles pour nous amener rapidement vers la victoire :

    1/ Signez dès maintenant votre pétition en cliquant ici

    2/ Transférez cet email à tout votre carnet d’adresses, et partagez la pétition le plus largement possible sur les réseaux sociaux que vous utilisez 

    Twitter   Facebook   LinkedIn   Google+

    Ensemble, nous allons créer une véritable onde de choc à travers l’Europe, pour que nos représentants et les institutions européennes se rendent compte que nous ne sommes pas dupes et qu’ils ne puissent plus céder impunément aux désidératas de l’agrochimie…

    Qu’ils s'opposent à la vente dans leur pays des nouveaux tueurs d'abeilles cachés autorisés par Bruxelles et que Bruxelles arrête d’autoriser de nouvelles molécules tueuses d'abeilles !

    Et qu’à la place ils encouragent les initiatives agricoles qui sont de vraies alternatives à la chimie. Les recherches prouvent que, contrairement à ce que croient la plupart des gens encore aujourd'hui, les agricultures innovantes sans pesticides produisent autant en moyenne que l'agriculture chimique industrielle… 

    …Mais qu'elles sont systématiquement plus rentables pour les fermiers qui les utilisent ! (8).

    Mais pas pour les multinationales agrochimiques évidemment, et c'est pour ça que le bât blesse. Et que POLLINIS a besoin de vous de toute urgence.

    Signez vite la pétition, et transmettez cet email à un maximum de personnes autour de vous.

    D'avance, merci !

     

    Nicolas Laarman

    Délégué général

     ­­­

     

    Références : 

    (1) Pesticides: Bruxelles interdit les néonicotinoïdes, Le Soir 14 juillet 2016

    (2) PROJET DE LOI pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages adopté le 20 juillet 2016 - Article 125 (p.118)

    (3) EFSA (European Food Safety Authority), 2014. Conclusion on the peer review of the pesticide risk assessment of the active substance sulfoxaflor

    (4)  "a high risk from the oral route of exposure could not be excluded [...] Some deviations from the control in forager mortality, flight intensity, brood development or in hive weight were noted in some studies. The experts agreed that these observations indicated that some slight, transient treatment related effects might occur. Some sub lethal effects (intoxicated bees) were also observed in some studies."

    http://www.efsa.europa.eu/sites/default/files/scientific_output/files/main_documents/4020.pdf

    (5) Sur la toxicité du triflumezopyrim pour les abeilles, voir notamment la base de données sur les pesticides de l'IUPAC(International Union of Pure and Applied Chemestry)

    Et pour en savoir plus sur les pesticides mésoionics : Jeanmart, 2015 : triflumezopyrim et Dicloromezotiaz

    (6) Lire notamment Crowder D. W., Reganold J. P., 2015 ; Financial competitiveness of organic agriculture on a global scale : PNAS, June 16, 2015, vol. 112 no. 24

     

     
     
     
     
       
     
         
     
     
     

    POLLINIS Association Loi 1901
    143 avenue Parmentier – 75010 Paris www.pollinis.org

     
     

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  • Bio Consom'acteurs - Agir pour une bio locale et équitable
     

    Bio Consom'info n°92 – Avril 2016


    Neuf mois de désintox


    Le printemps est là, accompagné des premiers papillons, hirondelles, bourdons et épandages de pesticides. Bonne nouvelle : au 1er janvier 2018, ces derniers ne devraient plus compter parmi eux de néocotinoïdes tueurs d'abeilles. C'est une des avancées du projet de loi biodiversité, adopté le 18 mars dernier en seconde lecture à l'Assemblée nationale.  Moins bonne nouvelle : ce bannissement ne change rien au fait que la consommation de pesticides en France a augmenté de 9,4% en 2014, par rapport à 2013. Un échec : e Grenelle de l'environnement prévoyait une réduction de moitié entre 2008 et 2018. Pour faire passer, la pilule, le plan Ecophyto présenté fin 2015 par le ministère de l'agriculture repousse l'échéance à... 2025. 
     
    Heureusement, localement, ça bouge. La loi Labbé oblige les collectivités à cesser d'utiliser des pesticides dans les espaces publics dès 2017, c'est-à-dire dans neuf mois. Certaines se sont totalement désintoxiquées des phytos. D'autres, comme Mouans-Sartoux, Langouët ou Barjac, font encore mieux : elles aident à l'installation d'agriculteurs bio locaux pour alimenter leurs cantines scolaires. 
     
    Ces villes et villages sont encore trop peu nombreux à notre goût - moins de 500 selon la carte Zéro phyto 100% bio -, sur 36 000. Et c'est pour cela qu'ils doivent être remarqués, valorisés, encouragés. C'est tout l'objet du kit pédagogique spécial collectivités Zéro phyto 100 % bio, que nous avons réalisé avec nos partenaires Générations futures et Agir pour l'environnement. Ce kit a été lancé fin mars à  l'Assemblée nationale, dans le cadre d'une table-ronde, sur l'invitation de la députée Brigitte Allain et en présence des représentants de six communes exemplaires. Nous vous invitons à lire le résumé de cet événement ci-dessous, et surtout à envoyer ce kit à votre commune.
     
    Bonne lecture !
     
    L'équipe de Bio Consom'acteurs
     

     

     
    LA BIO
    DOSSIER ET DÉBATS


    0 PHYTO 100% BIO : SORTIE D'UN KIT COLLECTIVITÉ POUR ACCOMPAGNER LES ÉLUS

    Bio Consom'acteurs, Agir pour l'Environnement et Générations futures ont dévoilé fin mars aux élus, journalistes et grand public leur kit pédagogique destiné aux collectivités pour qu'elles s'affranchissent définitivement des pesticides et intègrent l'alimentation biologique dans leurs cantines. On vous dit tout dans cet article.

    L'ASSOCIATION
    RELAIS


    LES 48H DE L'AGRICULTURE URBAINE

    Bio Consom'acteurs était présent les 19 et 20 mars aux 48H de l'Agriculture Urbaine organisées par l'association La Sauge à Paris. C'était l'occasion de parler jardinage et nouveaux modes de consommation.

     

    AGIR
    AGIR AU QUOTIDIEN


    POISSON : LABEL MSC OU NON?

    Faut-il acheter du poisson labellisé Marine Stewardship Council ou non? Anne Pierce, relai Bio Consom'acteurs en Haute-Garonne, a mené l'enquête et sa conclusion vous fera frétiller de joie.


    atelier proteines vegetales bio consom'acteurs

    PROTÉINES VÉGÉTALES : L'ESSENTIEL SUR UNE FICHE

    Ce samedi 5 mars, après avoir bravé le froid, les participants de l'atelier ont partagé avec nous de délicieux mets concoctés avec joie, bonne humeur et protéines végétales ! Voici une fiche pour vous servir de pense-bête, accompagnée d'une recette de velouté réchauffant aux lentilles corail.

    SE MOBILISER


    SOUTENEZ-NOUS GRÂCE AU NOUVEAU LIVRET DE LA NEF !

    Vous cherchez à retrouver du lien avec la nature dans votre vie quotidienne ? A partir du 5 avril, vous pouvez contribuer à nos actions en ouvrant un nouveau livret chez la Nef, qui vous permettra de nous reverser une partie de votre épargne. C'est grâce à vous et avec vous que nous pouvons agir et faire en sorte de retisser un lien avec la nature, par le biais de nos comportements de consommateur.

     
    AGENDA

    VENDREDI 1 AVRIL 2016 /

    Reprise des marchés bio paysans à Villefagnan (16)

    SAMEDI 2 AVRIL 2016 /

    Manger bio, c'est juste pour les riches ? Débat à Paris

    DIMANCHE 3 AVRIL 2016 /

    Cultures vs village automobile : réunion publique à Rambouillet (78)

    MARDI 12 AVRIL 2016 /

    Réunion du groupe "Changer d'assiette" à Angers (49)

    MERCREDI 13 AVRIL 2016 /

    La bio dans les étoiles : rencontres et débats autour de l'alimentation à Annonay (07)

    SAMEDI 16 AVRIL 2016 /

    Banquet paysan à Angers (49)

    LUNDI 18 AVRIL 2016 /

    Visite des vergers "Les coteaux nantais" à Vertou (44)

    SAMEDI 23 AVRIL 2016 /

    Assemblée générale de Bio Consom'acteurs Pays d'Angers (49)

    LUNDI 25 AVRIL 2016 /

    Réunion du groupe "Concrètement bio" à Angers (49)

    SAMEDI 23 AVRIL 2016 /

    Salon du chanvre et des fibres végétales à Noyal-sur-Vilaine (35)
    Soutenir l'association - Adhérer en ligne ici L'ASSOCIATION PRÈS DE CHEZ VOUS
    Bio Consom'acteurs  
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  • Bonsoir,
    Je vous transfère la newsletter de bio consom'acteurs, qui entre autres articles, parle de la biodiversité ....dans nos cantines.
     
    Bonne lecture 

     

     

    http://www.bioconsomacteurs.org/newsletter/bio-consom-info-ndeg90


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  •  

     

    Bonjour à tous,
     
    Vous trouverez en fichier joint une invitation de l'association Collembole avec qui l'AMAP est en contact, en particulier au JAPAR - jardin de partage de l'AMAP des Sablons - .

     


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  • TAFTA : les enjeux à la veille du 8ème cycle de négociations

    01 février 2015 | Par ameliecanonne - Mediapart.fr

    La Commissaire européenne Cecilia Malmström avait promis un nouveau départ pour les négociations d'un accord transatlantique de commerce et d'investissement - TAFTA. Mais à la veille de l'ouverture du 8ème cycle de négociations, qui se tient à Bruxelles toute cette semaine, les manœuvres d'apaisement et les pseudo-réformes engagées ces dernières semaines ne fournissent aucune réponse aux innombrables critiques remontant de toute l'UE. Au contraire, les promoteurs de l'accord – DG Commerce, leaders politiques, lobbies industriels – s'affairent pour le parer des plus séduisants atours. Efforts qui équivalent, faute d'une remise en cause substantielle du mandat initial et selon la gracieuse expression de nos collègues britanniques, à « tartiner de rouge à lèvres un cochon » : l'Accord transatlantique reste un danger majeur pour les peuples et la planète.

    .../...

    Or c'est un aspect capital, et très délicat des pourparlers. C'est en effet dans ce cadre que sont discutés les processus et les méthodes de convergence et/ou de reconnaissance mutuelle des normes de production, de consommation et de commercialisation en vigueur de part et d'autre de l'Atlantique. Or ces normes sont vues par les promoteurs du traité comme des entraves au commerce, dans une multitude de domaines. L'élevage animal et l'agro-alimentaire, les produits cosmétiques, la sécurité automobile, les fibres vestimentaires, la sécurité bancaire ou encore l'usage des bio-technologies en général, en sont quelques exemples qui préoccupent vivement les citoyens et les consommateurs, et qui devraient théoriquement faire l'objet de débats publics ouverts, associant toutes les parties intéressées et compétentes, au premier rang desquelles les élus.

    Mais point de débat public loin s'en faut, ni maintenant ni même plus tard : les négociateurs américains et européens s'entendent en effet sur la perspective de créer un Conseil de coopération réglementaire qui supervisera, à long terme, le débat permanent sur la mise en cohérence normative et sur ses modalités. Les instances élues à Strasbourg et dans les États membres pourront être consultées en bout de course, mais sans certitude puisque l'affaire est envisagée de façon purement technique et experte.

    Le Parlement européen poursuit quant à lui ses travaux en vue de voter, en mai prochain, une résolution sur l'Accord transatlantique, qui énoncera sa vision de l'accord. Cette résolution n'a pas de valeur contraignante, mais elle revêt une symbolique politique forte, en ce qu'elle pourrait préfigurer le vote final de ratification du traité. Les commissions du Parlement préparent actuellement leurs positions respectives (une « opinion » dans le jargon strasbourgeois) qui seront remises au Président de la Commission du Commerce international, Bernd Lange, en charge de rédiger un texte de synthèse à partir de celles-ci. Mais les sociaux-démocrates européens, dont les voix détermineront l'issue du scrutin sachant que la droite soutient le traité et que les formations de gauche (GUE et Verts) y sont opposées, sont à la fois divisés et confus sur leur positionnement. Tout en répétant publiquement qu'ils s'opposeront à un mécanisme d'arbitrage dans l'accord, une partie des sociaux-démocrates semble prête au compromis, et soutient les gouvernements français et allemand dans leur double-jeu.

    Sans aucun doute les mobilisations citoyennes et le travail des sociétés civiles européennes ont fragilisé un processus de négociation qui se voulait au départ rapide et secret. C'est un succès incontestable, alors que l'austérité budgétaire, le dumping social et la constitution d'un régime privilégié pour les entreprises forment l'indépassable horizon des politiques économiques occidentales depuis 20 ans. Dans plusieurs pays (Allemagne, Grande-Bretagne notamment), le débat public fait rage et redonne aux citoyens l'espoir de peser enfin dans les choix politiques.

    La deuxième manche démarre donc maintenant, et nous sommes bien résolus à la gagner. 

     

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  • J'ai le plaisir de vous transmettre ci-dessous une information de Béatrice Herbillon-Gebel, adhérente de l'AMAP des Sablons, que je remercie.
     
     
    Le livre "Cuisinez les légumes de la tête... aux pieds!" Editions Terre vivante (collectif Association côté jardins) est disponible à la bibliothèque de Fosseuse.

    Béatrice Herbillon-Gebel

    Responsable de la bibliothèque municipale de Fosseuse

    "Conter fleurette"

    107 rue du Vert Galant

    Tél. 09 67 06 05 85/Fax 03 44 47 05 85

     

    Ouverture au public

    Mercredi de 16h30 à 19h00

    Vendredi de 16h30 à 19h00

    Inscription et prêts gratuits de 4 livres pour 3 semaines,

    de 2 CD, 1 DVD pour 2 semaines


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  • Monsieur le préfet de l'Oise Emmanuel Berthier: Non au projet de la ferme industrielle des 3000 porcs de Loueuse (60).

     

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Monsieur_le_prefet_de_lOise_Emmanuel_Berthier_Non_au_projet_de_la_ferme_industrielle_des_3000_porcs_de_Loueuse_60/?kPkCyeb

     

    no

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  • http://redir.agirpourlenvironnement.org/nl/0o/sv968.html?a=cUZ0mY&b=417a3349&c=0o&d=16702661&e=a7f4185a&email=mafalda%40mdasilva.fr

     

     

    VICTOIRE - Refuser les pesticides n'est PLUS un crime !

    Cher-es ami-es,

    Les bonnes nouvelles en matière écologique sont suffisamment rares pour être saluées comme il se doit.

    Emmanuel Giboulot, viticulteur bio, qui s'était illustré en refusant de se soumettre à un arrêté préfectoral l'obligeant à épandre des pesticides pour lutter contre la flavescence dorée, a été relaxé par la cour d'appel de Dijon.

    Menacé, en première instance, d'une peine de 1000 euros d'amende (dont 500 euros avec sursis), Emmanuel Giboulot a interjeté appel en considérant que refuser de polluer ne pouvait faire l'objet d'une condamnation, même symbolique.

    Une nouvelle fois, un lanceur d'alerte a réussi à faire plier un État qui, par la voix d'un préfet, estime que les vieilles recettes du productivisme agricole seraient encore la seule et unique méthode à appliquer unilatéralement.

    Par son opposition déterminée, Emmanuel Giboulot a mis en lumière l'extrême incohérence d'un État. Alors qu'au niveau national, les nouvelles législations visent à une division par deux de l'utilisation des pesticides d'ici 2018 et interdissent l'usage des pesticides par les collectivités d'ici à la fin 2016 ; localement les viticulteurs seraient contraints de recourir à des produits toxiques.

    Alors que la France est encore dans le trio de tête des pays les plus utilisateurs de pesticides, il est grand temps de changer de modèle et de s'engager pleinement dans une transition agricole et alimentaire.

    De plus en plus de citoyennes et citoyens engagés réclament une alimentation de qualité et une agriculture biologique. Face à cette demande sociale grandissante, il est plus que temps que le gouvernement adopte des mesures fiscales et règlementaires fortes visant à amplifier et soutenir l'émergence d'une agriculture biologique locale, accessible à toutes et tous.

    Le combat d'Emmanuel Giboulot et de bien d'autres lanceurs d'alerte nous démontre chaque jour un peu plus que la mobilisation citoyenne alliant ténacité et créativité, conduit parfois à des succès. Au regard de l'énergie déployée pour obtenir ces victoires, ne boudons pas notre plaisir.

    Merci à toutes celles et ceux qui luttent pour une planète vivable :)
     
    ★ Ne doutez jamais qu'un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c'est toujours comme cela que ça s'est passé.★ - Margaret Mead (1901 - 1978) - Anthropologue.

    Stéphen
    MartinMickaëlJulieBenjamin et toute l'équipe d'Agir pour l'Environnement.
    contact@agirpourlenvironnement.org
    --
    http://www.agirpourlenvironnement.org
    http://www.facebook.com/association.agirpourlenvironnement
    http://www.twitter.com/APEnvironnement

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  • oici quelques liens intéressants transmis par une adhérente que je remercie.
    Le premier concerne la Marche mondiale pour le Climat qui partira de la place de la République à Paris.
     
    Et si certains se sentent proches des animaux, il y aura la marche du samedi 27 septembre
    http://www.newmanity.com/action/366/revolution-des-objets?join
     
     
    Il y a toujours, avec Novissen 
     
    la lutte contre la Ferme des 1000 Vaches
     
    et aussi ce documentaire : Je mange donc je suis http://vimeo.com/7893617
     

    parce que, comme le dit l'adhérente :  tout est relié... et l'intégrité et les choix les plus empathiques sont la seule véritable solution à long terme et bénéfique pour tous!


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