• Un véritable permis d'intoxiquer donné aux industriels de l’agrochimie qui produisent les perturbateurs endocriniens est proposé par la Commission européenne. A l’aube du vote de la dernière chance sur ces polluants chimiques qui dérèglent nos organismes et provoquent cancers, malformations, (etc.) nous devons faire bloc pour empêcher une telle décision.

     

     https://actions.sumofus.org/a/considerez-les-perturbateurs-endocriniens-avec-le-meme-serieux-que-les-cancerogenes-et-refusez-la-proposition-de-la-commission-europeenne?sp_ref=339776149.99.182135.e.581474.3&source=mlt


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  • http://www.bioaddict.fr/article/agriculture-biologique%C2%A0-le-gouvernement-supprime-des-aides-a5726p1.html

    L'Etat se désengage des aides accordées aux producteurs bio à l'issue de la période de conversion, en reconnaissance de leur effort en faveur de l'environnement. C'est ce qu'a annoncé le ministre de l'agriculture le 20 septembre. Et cela, alors que les producteurs bio attendent encore les aides de la Politique agricole commune (PAC) de la campagne 2015.

    Stéphane Travert, ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, a annoncé le 20 septembre que l'Etat ne participerait plus aux aides au maintien de l'agriculture biologique.


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  • https://positivr.fr/poulehouse-oeuf-poule-refuge/ Poulehouse : l'oeuf de poule... qui ne tue pas la poule !

    https://www.kisskissbankbank.com/poulehouse-l-oeuf-qui-ne-tue-pas-la-poule

    https://www.kisskissbankbank.com/poulehouse-l-oeuf-qui-ne-tue-pas-la-poule

     

    https://www.kisskissbankbank.com/poulehouse-l-oeuf-qui-ne-tue-pas-la-poul

     

    Poulehouse, l'oeuf qui ne tue pas la poule

    Poulehouse, l'oeuf qui ne tue pas la poule

     


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  • avec 80HA de terres agricoles qui risquent de disparaître

     

    https://europacity-nonmerci.agirpourlenvironnement.org/

     


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  • http://www.agencebio.org/la-bio-en-france

    Chiffres de la bio en France

    En 2016, la bio renforce sa croissance

    La bio: Une grande diversité d'emplois

    L'activité biologique (production, transformation et distribution) concerne en 2016 près de 118 000 emplois directs, avec une croissance annuelle moyenne de 8,4% par an depuis 4 ans. Les emplois se répartissent de la manière suivante:

    77 700 emplois directs dans les fermes en équivalent temps complet
    38 200 emplois en transformation et distribution bio

    2000 emplois en conseil, contrôle, recherche, formation, etc.

    Un nombre d'opérateurs qui poursuit son augmentation

    Fin 2016, 47 104 opérateurs (producteurs, transformateurs, distributeurs et importateurs) étaient engagés dans la production biologique, soit une augmentation de près de 10% par rapport à fin 2015. Avec:

    A l'aval, 14 840 transformateurs, distributeurs et importateurs, dont :
    • 10 600 transformateurs (+9 % par rapport à 2015)
    • 4 017 distributeurs (+11 % par rapport à 2015)
    • 223 importateurs (+40 % par rapport à 2015)

    A l'amont, 32 264 producteurs étaient engagés en bio fin 2016, soit une augmentation de 12 % par rapport à fin 2015. Les exploitations bio représentent 7,3 % des exploitations françaises et plus de 10,8% de l'emploi agricole.

    La bio franchit la barre symbolique des 5% de la SAU

    1 538 047 ha étaient engagés selon le mode biologique en 2016, soit une augmentation de 17% par rapport à 2015:

    • 1 054 877 ha certifiés bio
    • 483 170 ha en conversion dont 265 536 ha en première année de conversion (vs 226 130 ha en 2015)

     

    Evolution des opérateurs et des surfaces certifiées bio de 1995 à 2016

    surf_operateurs_2016.png

    Source: Agence BIO/OC

    Toutes les filières bio concernées par la hausse

    Productions végétales

    Pour l’ensemble des productions, la part en bio continue de progresser. Cependant la bio est mieux représentée dans les cultures pérennes : 17 % des surfaces plantées de vergers et plus de 9 % des surfaces de vigne sont conduites en bio.
    Le développement des surfaces fourragères depuis deux années accompagne celui de l’élevage de ruminants laitier comme allaitant (bovins, ovins et caprins).
    L’augmentation en 2016 de 20 % des surfaces bio de grandes cultures par rapport à 2015, qui fait suite à une croissance de 33 % en 2015 par rapport à 2014, a permis d’atteindre une part de 3 % de la SAU de grandes cultures en bio. Ces surfaces arriveront au terme de leur conversion entre l’été 2017 et l’été 2019, ce qui permettra d’approvisionner progressivement les filières françaises de l’épicerie comme de la boulangerie mais aussi de fournir l’aliment du bétail français nécessaire à l’élevage de volailles de chair et de poules pondeuses biologiques.

     

    Surfaces en bio en 2016 et évolution par rapport à 2015 pour les différentes productions végétales

    tab_surfbio_2016.png

     

    Productions animales

    Le développement de l’élevage bio touche l’ensemble des espèces. Les filières les plus dynamiques concernent les ruminants, en particulier l’élevage ovin laitier (+23 % de brebis laitières) et les élevages bovins allaitants comme laitiers (avec respectivement +17 % et +15 % de vaches). Du côté des élevages de monogastriques, la croissance des mises en place de volailles se développent aussi sur un rythme soutenu (+12 % pour les poulets de chair et les poules pondeuses).

     

    Animaux engagés en bio en 2016 et évolution par rapport à 2015 pour les différentes productions animales

    tab_anxbio_2016.png

     

    Répartition territoriale

    La plupart des régions ont connu une progression relative des engagements d’agriculteurs et des surfaces cultivées selon le mode biologique à deux chiffres en 2016. Cependant les exploitations bio sont inégalement réparties sur le territoire français.

    Près de 60 % des fermes et des surfaces bio se situent dans quatre régions : Occitanie (7 218 fermes, 361 718 ha), Auvergne-Rhône-Alpes (4 771 fermes, 204 235 ha), Nouvelle-Aquitaine (4 700 fermes,188 867 ha), Pays de la Loire (2 543 fermes,150 595 ha).


    Ces mêmes régions représentent plus de 40 % des entreprises de transformation et de distribution certifiées pour la bio. Les régions Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte-d’Azur, densément peuplées, occupent aussi une place importante pour l’aval de la bio.

    En 2016, la région Occitanie cultive près d’un hectare sur quatre engagé en bio en France. La région PACA reste la première région en termes de part de SAU en bio en France avec 19,4 %.

     

    Surfaces bio et en conversion et part dans la SAU de chaque département en 2016

    sufbio-par-departement-2016.png

    Sources : Agence BIO/OC, Agreste 2015

     

    Pour en savoir plus sur :


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  • lors de la foire de Méru le point de Vente d'Emmaüs sera ouvert.

    La boutique Solidarité sera présente pour une vente de crêpes avec les compagnons Boutique(anciens accueillis de la boutique qui s'activent autour de projets).

     

    Emmaüs sur la foire d'Octobre à Méru

    Emmaüs sur la foire d'Octobre à Méru et

    d'autre part,

     ces vêtements font l'objet d'un tri et d'une remise en vente dans les points de vente Emmaüs. cela permet d'offrir du travail (réinsertion et formation)

     

    ou en  chiffon

     

    c'est attractif pour la personne qui donne et cela rend service pour d'autres.

     


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  • Le bio toute l'année


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  • VENUE D’EQUIPE ET CINE-DEBAT AVEC ECHANGE

     

    AVANT-PREMIERE « DES CLICS DE CONSCIENCE »

     

    EN PRESENCE DU REALISATEUR JONATHAN ATTIAS

     

    LUNDI 2 OCTOBRE A 20H30

     

     

     

    “Après avoir réalisé la web série « Jardiniers Levez-Vous ! » qui s’intéressait à la préservation des semences traditionnelleson a décidé d'aller plus loin en lançant une pétition et voir s'il est possible d'agir par ce biais pour faire entendre la voix citoyenne...” 

     

    Alexandre et Jonathan lancent une pétition sur Internet pour redonner le droit aux agriculteurs de ressemer leur récolter et se promettent de la porter le plus loin possible
    Armés de leurs (dizaines de) milliers de signatures, ils surmontent les épreuves grâce à des rencontres ingénieuses et s'interrogent pour impliquer davantage les citoyens dans les choix politiques.

     

    Leur aventure initiatique sèmera peut être les graines pour une future démocratie.

     

     

     

    Lien vers les informations et réservations de l’évènements en cliquant sur l’image

     

    Pour l’occasion, le réalisateur JONATHAN ATIAS vient présenter son nouveau film en avant-première et suivi d’un débat au cinéma Majestic de Jaux-Compiègne ! 

     

    "DES CLICS DE CONSCIENCE" : LE FILM QUI QUESTIONNE NOTRE DÉMOCRATIE

     

     

     

     

     

    Synopsis :

     

    Des pétitions, nous en signons de plus en plus sur internet. Mais que deviennent réellement ces clics une fois nos signatures récoltées ? En lançant #YesWeGraine, pétition destinée à préserver les semences traditionnelles, Alexandre et Jonathan ont mis en lumière la puissance du pouvoir citoyen.

     

     

     

    Bande annonce

     

    Sortie nationale en salle le 4 octobre 

     

    INFORMATIONS PRATIQUES 

     

    Les réservations sont disponibles aux caisses du cinéma et sur le site internet 

     

    Tarifs : Tarif Plein : 6,50€ ; Tarif Réduit : 6€ et 4,50€ pour les moins de 14 ans ; Tarif préférentiel pour les CE et groupes scolaires sur réservation

     

    Durée : 1h18

     

     

     

    CONTACTS

     

    Programmation : melanie@majestic-compiegne.fr 

     

    Communication : Noemie / noemie@majestic-compiegne.fr ; Camille / camille@majestic-compiegne.fr 

     

    03.44.36.51.11

     

     

     

    Votre cinéma Majestic Compiègne
    Place Jacques Tati
    60880 JAUX

     

     

     

     

     

    Camille

     

    Assistante chargée de communication

     

    Cinéma Majestic Compiègne

     

    camille@majestic-compiegne.fr

    TEL : 03.44.36.51.11


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  • http://ls1v.r.ca.d.sendibm2.com/w08q6tzwiok7f.html

     

     


    Bonjour,
     
    La situation des magasins spécialisés bio nous alerte : leur fragilisation s'intensifie face aux grands magasins qui se spécialisent peu à peu en proposant de plus en plus de produits bio sans adhérer aux principes d'une consommation responsable et durable.
      Face à cela, Bio Consom'acteurs se doit de défendre la philosophie et les valeurs de la bio en permettant aux consommateurs d'identifier les magasins respectant ces principes.
    Nous souhaitons mieux connaitre les valeurs qui vous guident dans vos achats au quotidiens.
    Dans le cadre de notre projet d'élaboration d'une Charte du Bio Consom'acteur, nous avons besoin de votre avis.   Pour identifier au mieux vos attentes et vos exigences, nous souhaitons connaitre vos préoccupations et ce qui oriente vos choix de consommation : ce que vous valorisez dans vos achats, l'importance de critères comme la saisonnalité, la provenance et l'origine des produits, l'information en magasin…   Face à l'ampleur des marges grandissantes de la grande distribution, il est temps que nous fassions entendre nos voix.   Ensemble,  dessinons une charte qui regroupe nos intérêts collectifs de citoyens.   Participez à ce sondage : cliquez ici !   Merci d'être à nos côtés.    L'équipe de Bio Consom'Acteurs.    

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  • amap

    Un petit vent de révolution qui souffle sur la France ?
    2000 AMAP qui font vivre 5 000 paysans

    grâce à 250 000 consomm'acteurs
    Et ce n'est qu'un début !

    Enfin le retour a un agriculture raisonnée, juste, et bonne pour l'environnement ?
    Partagez cette vidéo pour faire connaitre ce système génial à tous vos proches !
    Soutenez le mouvement des AMAP sur le moteur de recherche

    www.lilo.org


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  • Scop-Ti: les ex-Fralib lancent une campagne de financement participatif

    http://www.scop-ti.fr/campagne-de-sociofinancement.html

     

    Scop-Ti: les ex-Fralib lancent une campagne de financement participatif

     

     Cela fait trois ans que les ex-Fralib se sont regroupés pour reprendre l'activité de leur ancien employeur Unilever. Leurs thés et infusions se vendent bien mais la trésorerie manque.

    La Société coopérative ouvrière provençale de thés et infusions, Scop-Ti, manque de trésorerie. Pour lutter contre ce problème, les ex-Fralib, ces anciens salariés d'Unilever qui ont repris leur entreprise en 2014, ont lancé, courant juillet, une campagne de financement participatif. Ils ont récolté plus de 110.000 euros, provenant essentiellement de dons d'un millier de particuliers, mais cette somme n'est pas suffisante et leur crowdfunding se poursuit.

    Lire aussi» Les ex-Fralib ont lancé leur marque de thé

     

    La société n'est pas encore dans le rouge mais les salariés ne sont toujours pas assurés de leur avenir. Olivier Leberquier, ancien délégué syndical CGT des Fralib reconverti en directeur général délégué de la Scop, explique avoir «lancé cette campagne avant de se retrouver complètement coincé. Plus vite on n'aura plus besoin de ce mode de financement mieux ce sera pour nous», poursuit-il. Surtout que, hormis ce manque de trésorerie - en grande partie dû aux conditions dans lesquelles s'est relancée l'entreprise -, les salariés de Scop-Ti se disent «satisfaits de leurs avancées: on a quadruplé le chiffre d'affaires entre 2015 et 2016 et aujourd'hui on a déjà dépassé celui de l'année dernière», souligne le directeur général. L'exercice 2017 devrait donc être satisfaisant, Olivier Leberquier estime d'ailleurs que le seuil d'équilibre de la Scop est atteignable au deuxième semestre de 2018.

     

    Revoir le packaging et séduire la grande distribution

    La campagne de financement a pour objectif de financer des projets importants pour l'entreprise. «Bien que nos carnets de commandes soient remplis, il y a un risque que nous ne puissions les honorer, faute de fonds: car il faut que nous puissions acheter les matières premières, les emballages... et tout cela ne peut se faire sans trésorerie», explique Olivier Leberquier. En priorité, les salariés aimeraient revoir le packaging de leurs produits: «Contrairement à nos concurrents, on travaille uniquement avec des arômes naturels, et pas d'arômes de synthèse. Seulement, ce n'est pas précisé sur notre packaging. On a donc besoin de faire des modifications pour le faire évoluer et permettre aux clients de bien voir dans le rayon pourquoi notre produit est différent des autres», expliquait Olivier Leberquier sur Europe 1. Scop-Ti souhaite également accélérer ses ventes, notamment en allant faire de l'œil à la grande distribution mais, pour ce faire, il faut passer par des investissements dans les moyens de production afin de satisfaire une demande accrue.

    La Scop ne se contente pas de demander de l'aide à de généreux donateurs. Pour soutenir leur entreprise, les salariés ont accepté de voir leurs salaires diminuer par rapport à ce qu'ils touchaient en tant qu'employés d'Unilever. Ils ont également renoncé, cette année, à leur treizième mois.


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  • Coordination Rurale

    http://www.coordinationrurale.fr/hauts-de-france/ Alors que les États généraux de l’alimentation ont débuté depuis 2 semaines, la Coordination Rurale est très inquiète de la tournure des discussions. Et pour cause, les responsables de la crise agricole (présidents de coopératives, industries agroalimentaires, distribution…) sont aux manettes des ateliers et pas vraiment décidés à rompre avec le système actuel… qui fonctionne pour eux !

    EGA : le cri d’alarme de la CR

    Aucune logique de rupture

    Les idées, qui ont pourtant montré leurs limites, sont ressassées et rien n’est fait pour ouvrir le débat. « Il nous est interdit de parler des prix mondiaux et du besoin de changer la PAC. La plupart des discussions s’orientent vers une solution unique déplorable : l’export… » constate Bernard Lannes, président de la CR.

     

    Des ateliers mal orientés ?

    Il est totalement aberrant et irresponsable de voir que l’un des trois axes retenus par l’atelier 2, en charge des synergies et des initiatives locales, est l’exportation !

    Il en est de même pour l’atelier 6 qui traite de l’adaptation de la production aux besoins des différents marchés et aux besoins des transformateurs alors qu’il y a bien d’autres pistes intéressantes à explorer localement et nationalement, à commencer par la reconquête du marché intérieur, le rééquilibrage de la production, l’étiquetage, l’approvisionnement de la restauration collective et de toute l’alimentation hors domicile…

    L’ultralibéralisme de l’atelier visant à faire rayonner l’excellence du modèle alimentaire de la France (atelier 4) pose question puisque la France est loin d’être autosuffisante et importe à tour de bras des protéines végétales, de la viande, des fruits et des légumes.

    Enfin, malgré les interventions du service des statistiques du ministère de l’Agriculture et de l’Office de la formation des prix et des marges (OFPM) qui avaient alerté sur le problème des prix agricoles trop bas, dans l’atelier 5, qui vise pourtant à rendre aux producteurs des prix plus rémunérateurs, il n’est plus question de trouver des solutions pour que les coûts de production des agriculteurs soient au moins couverts… La Coordination rurale rappelle que le prix payé aux producteurs doit être basé à partir d’un coût réel de production auquel il faut rajouter une juste rémunération.

    Les premières réunions ne laissent malheureusement pas grand espoir à la Coordination Rurale de voir la situation des agriculteurs s’améliorer grâce aux EGA. Cependant, la CR reste déterminée à y faire entendre la voix des agriculteurs et continuera d’y présenter des propositions nouvelles et longuement réfléchies, jamais mises en place, et permettant surtout de redonner du revenu, de l’envie et des perspectives d’avenir aux jeunes pour qu’ils s’installent sereinement et dans la durée.

     

     


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