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    ou

    Monsanto pense gagner sur le Glyphosate

    Saviez-vous qu’un produit chimique dangereux et potentiellement cancérigène pourrait bien être présent dans votre organisme ? [1, 2] Des scientifiques en ont trouvé la trace dans l’urine d’une personne sur deux. [3] Pourquoi ? Parce que nos aliments en sont probablement aspergés.

    Les industriels spécialisés dans les herbicides, comme Monsanto, mènent un lobbying acharné pour protéger leurs profits. Leurs portefeuilles bien remplis payent depuis longtemps des études biaisées et de prétendus experts pour faire croire que leurs produits sont sûrs. Mais nous savons que ce poison cancérigène n’a rien à faire dans le parc à côté de chez nous. Et que les agriculteurs qui produisent nos fruits et nos légumes ne devraient pas utiliser ce produit toxique.

     Sous pression des industriels la Commission européenne voulait réautoriser le glyphosate pour 15 ans mais les députés européens ont demandé de réduire l'autorisation à 7 ans et un grand nombre de restrictions, qui limiteront sévèrement l’usage et l’impact du produit. En ce moment le Commissaire à la sécurité alimentaire doit revoir sa copie. C'est donc le moment de mettre à nouveau la pression et lui montrer qu'on ne veut pas de ce désherbant toxique.   

    Agissez : signez la pétition contre le poison cancérigène de Monsanto.

    Les résultats sont tombés, difficile de les ignorer. Pour montrer que les Européens ne prennent pas à la légère le glyphosate, le désherbant toxique de Monsanto, nous avons commandé un sondage YouGov avec nos partenaires allemands Campact.

    Les citoyens se sont exprimés et les résultats sont sans appel : à peine 9 % de la population des 5 plus grands pays européens est en faveur de la réautorisation de ce dangereux herbicide, que l’OMS classe comme « probablement cancérigène ». Les citoyens connaissent les dangers du glyphosate et ils n’en veulent plus. [4] 

    64 % des personnes interrogées sont contre le glyphosate et 27 % sont sans opinion. Les Italiens (76 %), les Allemands (70 %) et les Français (60 %) sont les plus fermement opposés au projet. Dans ces trois pays, nous et nos partenaires faisons campagne depuis plusieurs mois. Nous avons réussi à attirer toute l’attention des médias sur cette question. 

    Faites entendre votre voix pour retirer ce produit chimique de nos assiettes avant qu’il ne soit trop tard.

    Pour la santé de tous, les parcs, les fruits, les légumes.

    Avec espoir,

    Mika (Bordeaux), Jörg (Hambourg), Rebecca (Londres), Virginia (Madrid) et toute l’équipe WeMove.EU

    Cette campagne est en partenariat avec Campact, Corporate Europe Observatory, Ecologistas en Action, Fundación Alborada, Générations futures,Global2000, HEAL, Pesticide Action Network Europe, Pesticide Action Network - Italie, Pesticide Action Network - Allemagne, Pesticide Action Network UK,  Skiftet, WECF et Wemos. 

    [1] Ce produit nommé glyphosate est l’un des principes actifs les plus répandus dans les pesticides du monde entier. 

     [2] L’Organisation mondiale de la santé (OMS) classe le glyphosate comme « potentiellement cancérigène » www.lemonde.fr/planete/article/2015/03/25/le-desherbant-roundup-classe-cancerogene_4600906_3244.html  

    [3] Glyphosate trouvé dans de l’urine humaine partout en Europe www.foeeurope.org/weed-killer-glyphosate-found-human-urine-across-Europe-130613

     [4] http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/04/13/le-parlement-europeen-demande-une-reautorisation-limitee-du-glyphosate_4901418_3244.html

    WeMove.EU est un mouvement ouvert à toutes celles et ceux militant pour une meilleure Union européenne, attachée à la justice sociale et économique, à la gestion durable de l’environnement, et à l’implication des citoyens dans les processus démocratiques.

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  • http://blog.groww.fr/nous-on-aime-les-limaces/

     

    NOUS ON AIME LES LIMACES !

    Les limaces, sujet tellement récurrent chez les jardiniers ! Groww se devait de faire un petit article, d’autant plus qu’on a un avis assez tranché sur la question… Car oui, on va vous l’avouer tout de suite, nous, on les aime bien les limaces – ces rigolotes petites bêtes, tellement douées pour plein de choses, y compris échapper même aux plantes carnivores…


    Haha. Dans la vie faut qu’ça glisse !

    La vie est belle, n’est ce pas? Alors pourquoi faire la chasse aux limaces, peut-être y a -t- il moyen de vivre en bonne entente…? Bon, avant de vous dire comment nous, nous y prenons, faisons ensemble le tour des solutions souvent proposées :

    Pour commencer… La bière !

    beer slug

    Super classique, il suffit de faire une petite recherche sur Google et la plupart des résultats mentionnent cette fameuse solution… qui est loin d’en être une !

    En effet, les limaces adorent la bière, certes, voire feront des kilomètres pour venir s’abreuver à votre openbar – mais elle ne tombent pas forcément dans le piège… Pour vous en convaincre, une superbe vidéo en « time-lapse » !

    Comme vous pouvez le voir, les limaces vont et viennent, comme de vulgaires pochtrons vont au bistrot ! A part attirer toutes les copines vers votre potager, efficacité nulle ! Sans compter que d’autre animaux, hérissons inclus, et d’autres insectes en particulier des staphylins et des carabes, ennemis jurés des limaces, peuvent s’y noyer aussi! Du coup, c’est la fiesta toute la nuit dans votre potager et au petit matin un carabe noyé, c’est 10 limaces voraces qui s’en donneront à coeur joie sur vos laitues…

    Cendre, coquilles d’œufs, aiguilles de pin et autres bandes de cuivres

    Remèdes classiques, et là aussi, efficacité assez moyenne, sans compter que la cendre ou les aiguilles de pin ne sont pas toujours tolérées en excès au potager !

    Certains jardiniers posent autour de leurs cultures des bandes de cuivre : les limaces détesteraient le contact du cuivre: ça doit leur faire un peu l’effet que donne une pile 1,5 v quand on pose les électrodes sur la langue, beurk…

    On avoue, on a jamais essayé le cuivre! La cendre disparait à la première pluie, les aiguilles de pin apportent beaucoup d’acidité, bref, on n’est pas convaincus… mais n’hésitez pas à nous en faire part ici si vous obtenez des résultats !

    L’anti-limaces

    Le produit dit « bio » à base de phosphate ferrique (souvent appelé « Ferramol ») se trouve en jardineries. Contrairement aux autres granulés notamment ceux à base de métaldéhyde (heureusement) désormais interdits, ce produit est toléré en agriculture bio. En plus, c’est pernicieux : ses effets ne sont pas immédiats car les limaces ne meurent pas sur place mais dans leur refuge, sans traces de bave Vous ne les voyez même pas souffrir! Mais évidemment, toléré ne veut pas dire absolument neutre, et évidemment pas indolore pour le porte-monnaie… Vous l’aurez compris, ce n’est pas non plus notre solution préférée… On préférerait pour notre part leur donner des croquettes moins nocives :

    Alors, quoi?

    Alors quoi, comment lutter ! Eh bien justement, peut-être en ne luttant pas. « La meilleure défense c’est l’attaque » est un adage qui ne se justifie pas du tout au jardin. Les limaces sont des habitants du jardin, nécessaires, voire indispensables à l’équilibre et à la bio-diversité.Vouloir les éliminer, c’est chercher à introduire un déséquilibre, brutal qui plus est, alors que l’on devrait viser à atteindre peu à peu un équilibre dans un écosystème riche et varié – que chacun ait de quoi survivre, manger, sans déranger le voisin. Sans compter que si on y réfléchit deux secondes, c’est complètement idiot : supprimez les limaces, et vous faites diminuer les populations de prédateurs de la limace. Qui revient en force très vite ! Essayez, ça marche aussi avec les pucerons : si vous les éliminez, ne vous étonnez pas de voir les coccinelles fuir votre jardin… Et les pucerons de ramener leur fraise sur VOS fraises, goguenards…

    Bref, vous voulez avoir droit à de belles salades? Laissez aux limaces de quoi se nourrir au lieu de les pourchasser. On l’a pas inventé tout ça, c’est Hervé Covès, ingénieur agronome qui le dit bien mieux que nous :

    « Si on est obligé d’assassiner quelque chose pour vivre, c’est qu’il y a un problème. »

    Hervé est un fervent défenseur des limaces, et de la vie en général ! N’hésitez pas à écouter son accent chantant ici :

    Clair comme de l’eau de roche, pas vrai? Cela dit, il faut quand même faire quelque-chose si vous voulez vivre en bon entente : cela va consister à réfléchir à la façon dont votre espace est conçu, faire quelques petits aménagements pour l’optimiser, et favoriser la biodiversité…

    Le tout calmement, à la vitesse des limaces ! Car comme le dit Gilbert des Fraternités Ouvrières(où nous passons parfois le dimanche matin), au jardin il faut prendre le temps de regarder et de comprendre, avant d’agir :

    «Un bon jardinier doit être paresseux (…). Si on s’active trop dès qu’on voit un problème, on n’a pas le temps de comprendre le problème et il va toujours revenir. Par exemple, si des pucerons cendrés s’attaquent aux choux, y a des gens qui vont retirer tout de suite le chou malade. Mais le lendemain, ils vont se rendre compte qu’un autre chou est attaqué. Alors que si on ne fait rien, le premier chou sera bouffé en entier, pendant ce temps-là, les autres choux vont se renforcer et les pucerons les boufferont pas. Mais ça, c’est dur à faire comprendre aux gens, qu’il faut rien faire.»

    Et du coup, laisser tout le monde vivre – comme le dit souvent Hervé – la vie est belle !

    Le ramassage

    Alors, première technique respectueuse, facile et pas chère, ramasser les bestioles. Evidemment, c’est long et fastidieux, mais vous avez un avantage indéniable : les limaces ne vont pas très vite ! Enfin en général…

    Le ramassage est à pratiquer le matin tôt ou en fin de journée à la lampe de poche, ça amuse beaucoup les enfants. Juste après la pluie, ça marche bien aussi ! Vous pouvez toutes les regrouper au bout du jardin dans un coin bien à elles, abrité et à l’ombre, humide, avec de quoi les nourrir (restes de légumes abîmés ou plants rien que pour elles !), des planches et tuiles pour qu’elles s’abritent, vous risquez de les rendre heureuses.. loin de vos plants à vous!

    Suivez ensuite leurs déplacements, observez : si elles ont tendance à revenir dans votre potager, c’est que la place que vous leur avez choisie ne leur convient pas. Trouvez mieux. Trouvez des parades. Imaginez.

    Les planches, cartons et tuiles

    Il y en aura toujours qui viendront, cela dit ! A mettre aussi au potager, cartons, tuiles, planches au sol : Les limaces se réfugient en-dessous avant le lever du jour ; il suffit alors de retourner les planches pour les capturer et les couper en deux les renvoyer au paradis des limaces, au bout du jardin! A pratiquer toute la saison, mais surtout pendant les périodes sensibles, notamment après les semis.

    Des aménagements intelligents

    Les limaces aiment les jardins naturels et sauvages. Un potager aux planches surélevées leur est un obstacle, surtout si les bords sont droits – faits de planches de bois – voire doublés d’une gouttière – qui leur rend vraiment la vie compliquée !

    Si cette solution vous plaît, le monsieur de la vidéo explique comment il s’y prend :

    Nous avons fait ça, et globalement, il y en a peu de courageuses pour se taper l’Everest ! Et si, à côté, plus loin, vous leur laissez des plantes rien que pour elles et un environnement adapté, les limaces sont comme le jardinier, elles n’aiment pas se fatiguer inutilement : elles iront là où vous les attirez !

    Enfin, en acceptant quelques limaces dans votre jardin, vous y accueillerez aussi ses ennemis naturels – qui viendront y chercher leurs proies… Les plus importants ne sont pas les hérissons, grives ou crapauds, à la présence aléatoire et saisonnière, mais les insectes : carabes, staphylins odorants, vers luisants, mille-pattes… Et bien sûr, les canards !

    Bon, et enfin, si vous avez le temps – faites comme les limaces, prenez le, le temps, et regardez ce petit bijou…


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  • Usurpation et confiscation 

     

    Nature et Progrès, à l’origine Publication de l’Association européenne d’agriculture et d’hygiène biologiques, créée en 1964, est à l’origine en 1972 de l’écriture des Cahiers des Charges qui serviront plus tard à la réalisation des cahiers des charges bio français et européens. Plus récemment elle est devenue la revue de la bio associative et solidaire. (sans vouloir me rajeunir, je la suis depuis l’origine)

     

    Dans le dernier numéro d’avril/mai une tribune est particulièrement alarmante. Cette tribune est reprise dans le lien suivant  http://p5.storage.canalblog.com/54.

     

    En résumé, les acteurs historiques de l’agriculture bio, résolument opposés à l’agriculture chimique industrielle sont enquêtés sur l’usage qu’ils font dans leur communication des préfixes « bio » et « éco ». MAIS les leaders qui figurent dans la liste des adhérents de l’association française des entreprises de produits de biocontrôle (IBMA France) et qui s’apprêtent en toute impunité à s’offrir une virginité en la matière ne sont autres que les plus gros pourvoyeurs de pesticides toxiques -  BAYER-BASF-DOW-SYNGENTA-TOTAL…… !

     

    Bien avant d’être réduite à un label, l’agriculture biologique est un concept pratique et philosophique – respect du vivant (sol, végétal, animal)- refus de l’industrialisation et de la financiarisation de l’agriculture (interdiction  des produits chimiques de synthèse etc…)- développement d’une agriculture familiale à taille humaine …..

     

    C’est toujours le même combat, chassez les par la porte, ils reviennent par la fenêtre, le profit est plus alléchant que le bien-vivre.

     

    Lien de Nature et Progrès http://www.natureetprogres.org


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  • Bonsoir à tous,
    Nous étions quelques uns à être allés chez Sylvie Nève pour le chantier remise à neuf. de ce samedi 16 avril 2016...Claude Braun, que je remercie, vous propose ce texte à savourer comme nous avons tout savouré lors de cette journée!!! y compris la soupe d'ortie que Sylvie nous a préparée.

     

    Sous le charme de notre journée au jardin d’EVEN

     

    Je croyais trouver un jardin nickel, tiré au cordeau, les innombrables plantes médicinales et aromatiques sagement ordonnées, pas du tout ! Passant devant j’aurais pensé une jachère !

    Sylvie précise d’emblée : la nature commande, je ne fais que suivre. Bien sûr quand elle repique ses semis elle choisit les emplacements préparés, les voisinages, les groupements. Les emplacements futurs d’ailleurs sont recouverts de bâches tissées sur lesquelles  séjournent des herbes coupées. Des composts sont disposés en périphérie (trois ans pour les « mauvaises » herbes en retournant le tas chaque année).

    Le printemps est frais et l’herbe croît plus vite que les plantes ne fleurissent. Les plantes médicinales ou tisanières, caractéristiques et singulières, sont cachées par l’herbe indistincte, dans une croissance parallèle sans aucune confusion sitôt que l’on a identifié la plante recherchée, et dès que celle-ci est dégagée on voit apparaître la ligne de touffes de persil, les tous jeunes plants de framboisiers sauvages, la ligne d’hysope, les pieds des cassissiers, les jeunes pensées, les touffes de coquelicots bien tapies…..

    Les plantes, triées, parfois lavées, sont déposées sur les tamis du séchoir, genre d’isba ou de sauna tout en bois, aéré, propre, antichambre des tisanes à venir…… La suite lors d’un prochain week-end d’aide à la cueillette. En attendant c’est Sylvie qui nous a bien aidés à être heureux et l’esprit dispos.

     

    Claude Braun

    Le Jardin D'EVEN vu par Claude


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  • Bio Consom'acteurs - Agir pour une bio locale et équitable
     

    Bio Consom'info n°92 – Avril 2016


    Neuf mois de désintox


    Le printemps est là, accompagné des premiers papillons, hirondelles, bourdons et épandages de pesticides. Bonne nouvelle : au 1er janvier 2018, ces derniers ne devraient plus compter parmi eux de néocotinoïdes tueurs d'abeilles. C'est une des avancées du projet de loi biodiversité, adopté le 18 mars dernier en seconde lecture à l'Assemblée nationale.  Moins bonne nouvelle : ce bannissement ne change rien au fait que la consommation de pesticides en France a augmenté de 9,4% en 2014, par rapport à 2013. Un échec : e Grenelle de l'environnement prévoyait une réduction de moitié entre 2008 et 2018. Pour faire passer, la pilule, le plan Ecophyto présenté fin 2015 par le ministère de l'agriculture repousse l'échéance à... 2025. 
     
    Heureusement, localement, ça bouge. La loi Labbé oblige les collectivités à cesser d'utiliser des pesticides dans les espaces publics dès 2017, c'est-à-dire dans neuf mois. Certaines se sont totalement désintoxiquées des phytos. D'autres, comme Mouans-Sartoux, Langouët ou Barjac, font encore mieux : elles aident à l'installation d'agriculteurs bio locaux pour alimenter leurs cantines scolaires. 
     
    Ces villes et villages sont encore trop peu nombreux à notre goût - moins de 500 selon la carte Zéro phyto 100% bio -, sur 36 000. Et c'est pour cela qu'ils doivent être remarqués, valorisés, encouragés. C'est tout l'objet du kit pédagogique spécial collectivités Zéro phyto 100 % bio, que nous avons réalisé avec nos partenaires Générations futures et Agir pour l'environnement. Ce kit a été lancé fin mars à  l'Assemblée nationale, dans le cadre d'une table-ronde, sur l'invitation de la députée Brigitte Allain et en présence des représentants de six communes exemplaires. Nous vous invitons à lire le résumé de cet événement ci-dessous, et surtout à envoyer ce kit à votre commune.
     
    Bonne lecture !
     
    L'équipe de Bio Consom'acteurs
     

     

     
    LA BIO
    DOSSIER ET DÉBATS


    0 PHYTO 100% BIO : SORTIE D'UN KIT COLLECTIVITÉ POUR ACCOMPAGNER LES ÉLUS

    Bio Consom'acteurs, Agir pour l'Environnement et Générations futures ont dévoilé fin mars aux élus, journalistes et grand public leur kit pédagogique destiné aux collectivités pour qu'elles s'affranchissent définitivement des pesticides et intègrent l'alimentation biologique dans leurs cantines. On vous dit tout dans cet article.

    L'ASSOCIATION
    RELAIS


    LES 48H DE L'AGRICULTURE URBAINE

    Bio Consom'acteurs était présent les 19 et 20 mars aux 48H de l'Agriculture Urbaine organisées par l'association La Sauge à Paris. C'était l'occasion de parler jardinage et nouveaux modes de consommation.

     

    AGIR
    AGIR AU QUOTIDIEN


    POISSON : LABEL MSC OU NON?

    Faut-il acheter du poisson labellisé Marine Stewardship Council ou non? Anne Pierce, relai Bio Consom'acteurs en Haute-Garonne, a mené l'enquête et sa conclusion vous fera frétiller de joie.


    atelier proteines vegetales bio consom'acteurs

    PROTÉINES VÉGÉTALES : L'ESSENTIEL SUR UNE FICHE

    Ce samedi 5 mars, après avoir bravé le froid, les participants de l'atelier ont partagé avec nous de délicieux mets concoctés avec joie, bonne humeur et protéines végétales ! Voici une fiche pour vous servir de pense-bête, accompagnée d'une recette de velouté réchauffant aux lentilles corail.

    SE MOBILISER


    SOUTENEZ-NOUS GRÂCE AU NOUVEAU LIVRET DE LA NEF !

    Vous cherchez à retrouver du lien avec la nature dans votre vie quotidienne ? A partir du 5 avril, vous pouvez contribuer à nos actions en ouvrant un nouveau livret chez la Nef, qui vous permettra de nous reverser une partie de votre épargne. C'est grâce à vous et avec vous que nous pouvons agir et faire en sorte de retisser un lien avec la nature, par le biais de nos comportements de consommateur.

     
    AGENDA

    VENDREDI 1 AVRIL 2016 /

    Reprise des marchés bio paysans à Villefagnan (16)

    SAMEDI 2 AVRIL 2016 /

    Manger bio, c'est juste pour les riches ? Débat à Paris

    DIMANCHE 3 AVRIL 2016 /

    Cultures vs village automobile : réunion publique à Rambouillet (78)

    MARDI 12 AVRIL 2016 /

    Réunion du groupe "Changer d'assiette" à Angers (49)

    MERCREDI 13 AVRIL 2016 /

    La bio dans les étoiles : rencontres et débats autour de l'alimentation à Annonay (07)

    SAMEDI 16 AVRIL 2016 /

    Banquet paysan à Angers (49)

    LUNDI 18 AVRIL 2016 /

    Visite des vergers "Les coteaux nantais" à Vertou (44)

    SAMEDI 23 AVRIL 2016 /

    Assemblée générale de Bio Consom'acteurs Pays d'Angers (49)

    LUNDI 25 AVRIL 2016 /

    Réunion du groupe "Concrètement bio" à Angers (49)

    SAMEDI 23 AVRIL 2016 /

    Salon du chanvre et des fibres végétales à Noyal-sur-Vilaine (35)
    Soutenir l'association - Adhérer en ligne ici L'ASSOCIATION PRÈS DE CHEZ VOUS
    Bio Consom'acteurs  
    Nous retrouvez : Twitter Facebook
     
     
                   

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  • Si vous cherchez une nouvelle recette pour les betteraves de ton panier cette semaine, en voici une :
     
     
    250 g sucre en poudre
    200 g farine
    200ml d'huile
    3 oeufs
    1 c à café de levure chimique
    2 c à café  mixed spice (canelle, muscade, gingembre) 
    3 c à café lait
    150 g de betterave crue rapée
    200 g de noix hachées (noisettes, amandes, noix au choix)
     
    Avec un fouet, battre l'huile et le sucre, ajoutez les oeufs et battre jusqu'à le mélange devient lisse et brillant. 
    Ajoutez la levure, les épices et la farine.
    Ensuite, le lait et la betterave et en dernier les noix.
     
    Four 180° pendant 50 minutes environ
     
    Pour la petite histoire, cette recette vient d'un français Eric Lanlard qui a une patisserie à Londres, qui s'appelle 'Cake Boy' et qui anime une émission de télé 'Baking Mad'.
     

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